Le FMI, comme l’OMC, comme la Banque Mondiale, sont les instruments de la mondialisation néolibérale orchestrée par les banques et organismes privés, usuriers des états et de la planète ; rien de nouveau, sauf que le dernier sommet du G20, et les mesures prises en conséquence à la crise provoquée par ces usuriers-gangsters, a montré clairement que les politiciens à la tête des états industrialisés sont leurs valets obligés, et leur ont donné de nouveaux pouvoirs.
Le dépeçage de la planète, la privatisation du vivant, la lamination des 9/10èmes de la population mondiale, au profit de cette caste de banksters et d’affameurs peut donc se poursuivre ; les conditions de vie de la très grande majorité des citoyens du monde ne vont faire que s’aggraver, inexorablement.
La seule « solution » ne peut venir que d’un changement complet des règles du jeu ; à savoir supprimer le pouvoir de création monétaire aux banques, organismes privés, et autres bras armés du rouleau compresseur libéral, dont les organismes cités plus haut.
Cela ne pourra, en aucun cas, venir des organismes internationaux actuellement en place, totalement aux ordres.
Ce n’est que par le biais de mouvements citoyens globaux que ce changement serait possible ; campagnes massives de boycott, résistance passive et active, grèves générales, actions collectives en justice, multiplication d’économies locales parallelles, en dehors du système globalisé, etc..
Regroupons nous au sein d’associations de consommateurs, de citoyens, de mouvements de résistance, de systèmes d’économies parallelles.