Commentaire de Fergus
sur L'anneau d'or brandi cet été dans Paris par des mendiants : « le leurre du pied dans la porte »
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Je suis bien d’accord, Paul, pour reconnaître que ce fameux produit d’appel est le plus souvent un « leurre » dans la mesure où il ne profite qu’à une petite minorité de consommateurs alléchés par « la bonne affaire ».
La nature du leurre n’en est pas moins sensiblement différente, me semble-t-il, ne serait-ce qu’en raison du fait qu’il n’y a pas, comme dans les autres exemples, de pression humaine directe, le plus souvent étayée par une attitude ou un regard parfaitement étudié pour susciter la compassion.
Derniers commentaires
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07/09 12:30 - Paul Villach
@ Pigripi « La relation d’information » est si complexe qu’elle mériterait (...)
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07/09 12:26 - pigripi
Paul, Gardons-nous cependant de tout angélisme : la manipulation n’est-elle pas dictée (...)
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07/09 12:25 - Paul Villach
@ Pigripi L’étude des leurres n’empêche pas évidemment de prendre la mesure de la (...)
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07/09 12:23 - pigripi
Paul, Donc l’apprentissage des leurres dans « la relation d’information » (et non (...)
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07/09 12:19 - pigripi
Sur la mendicité, je voudrais rajouter que le phénomène a pris une ampleur sans précédent à (...)
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07/09 12:01 - Paul Villach
@ Pigripi Tout à fait d’accord avec vous ! Mais pour résister à la manipulation, encore (...)
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