Salut Olivier,
« Il opérait en totale gratuité, et ses « remèdes » ont été consignés dans un livre. » n’est ce pas ce que nous tâchons de faire tous les jours à notre petit niveau ? D’ailleurs, c’est comme cela que l’on reconnait le degré de vénalité des lecteurs. Ils n’attribuent souvent de valeur qu’ à ce qui leur coûte, de cette façon, ce sont eux qui représentent la valeur qu’ils donnent aux chose qu’ils payent. D’où, le gratuit ne vaut rien et on le jette parterre ce qui coûte à la communauté qui doit payer pour le ramasser. Jeter un papier parterre, c’est créer un emploi, peuchère !
L’on peut très bien au sommet de sa forme, gérer des quantités de choses en même temps comme lors d’un repas à quinze, s’apercevoir tout en parlant et en servant un plat que quelqu’un manque de pain, en incluant dans sa conversation la question à son voisin de lui passer la corbeille...On peut très bien parler à deux personnes au téléphone et en visu tout en conduisant sa voiture à travers un parking et cherchant une place et ainsi de suite, sauf...que c’est interdit !
En fait, si l’on écoute la loi, elle ne fait que nous limiter dans nos actions en fixant elle même des limites floues et nous déresponsabilise de nos facultés à user de notre propre cerveau pour définir nous mêmes les limites à ne pas dépasser.
Au lieu d’installer un pouet retentissant ( 30 euros au bas mot ) pour que tout le carrefour soit prévenu et que tous les yeux se tournent vers le contrevenant qui vient de bruler un feu, ce qui constituerait une forme de prévention efficace à terme...l’Etat préfère installer un réseau de caméras et payer le plantons qui vont visualiser le film et envoyer la contravention via tout un réseau de hussiers de justice qui au bout du compte coûtent bien plus cher que les 75 euros de la contravention...
Dès lors que l’on réfléchit au système, l’on se rend compte que c’est plus que le porte monnaie qui résonne...sonne...nne...e, que le cerveau, et au bout du compte, il est vide pour tous les gens qui contribuent au système et qui n’ont plus le temps d’y réfléchir !
L’intelligence permet à celui qui en est pourvu, de constater qu’il se conduit le plus souvent... comme un imbécile.