« version (fabriquée) de la police » Et la version de vos camarades ?Le maire communiste (eh oui, cela existe encore) de Stains (Seine-Saint-Denis, le fameux « 9-3 »), Michel Beaumale, s’en fâche tout rouge. Il se dit « indigné » et « révolté » par « un acte ignoble et particulièrement lâche ». Les raisons de son indignation et de sa révolte ? L’agression dont ont été victimes deux élus municipaux (dont un proche conseiller du maire) lors des festivités organisées à Stains pour le 14 Juillet.Les deux élus communistes se trouvaient près d’un immeuble de l’avenue Stalingrad (eh oui, ça existe encore en France, bien qu’en ex-URSS on ait débaptisé cette ville qui portait le nom du plus grand criminel de tous les temps) quand une meute d’une vingtaine de « jeunes », sortis du Clos Saint-Lazare, ont fondu sur eux. Pour une razzia en règle : dépouillés de tout ce qu’ils avaient sur eux (il semble qu’on leur ait laissé leur slip), portables, portefeuilles, objets divers, ils ont de surcroît été tabassés. [...] A Stains, on s’interroge sur les motivations d’un tel acte [...] parce qu’il concerne deux élus communistes qui, c’est vrai, compte tenu de leur politique de dhimmis, s’attendraient à un peu plus d‘égards de la part des « jeunes ». [...] Car si cette agression peut être expliquée, et pourquoi pas justifiée, à partir du moment où les « jeunes » croyaient « casser du flic », elle devient insupportable à partir du moment où elle concerne des élus communistes. C’est, grosso modo, ce qu’insinue le maire bolcho Michel Beaumale :
— Toute agression est inacceptable (…) mais, pour des hommes et des femmes qui, chaque jour, se dévouent au service de la population, assument avec courage leur mandat d‘élus républicains, il me paraît encore plus (sic) ignominieux qu’ils puissent être la cible d’une telle sauvagerie et d’une telle lâcheté ! Cours, camarade, les lycaons sont derrière toi ! Et ils finiront par te bouffer quand tu auras fini de leur être utile…« Tout se perd : ces communistes ne connaissent même plus Lénine, qui disait »Ils nous vendront la corde pour les pendre".