Je vous concède que, n’étant pas un spécialiste en économie et en finances (mais pas totalement ignorant sur le sujet), je n’ai pu opposer une démonstration technique aux mensonges et aux désinformations proférés par monsieur Santi.
Je n’ai pu que relever les mensonges proférés par un des responsables directs de la crise : mensonges qui, vu les dégâts engendrés par les abus opérés par monsieur Santi et ses semblables, s’apparente fortement à une provocation (avec, dans le titre, fort de café, la référence aux « incapables », qui ne partagent pas l’espoir de dépecer la planète, comme monsieur Santi et ses nuisibles congénères).
J’ai donc approuvé la démonstration de Chantecler, avant de mettre le nez de monsieur Santi dans son cynisme provocateur.
Mais « crapule libérale » ne me semble pas une invective particulièrement violente ; tout juste une description objective de la nature de ceux qui procèdent à toutes les crapuleries, dont la plupart des citoyens du monde sont victimes.
Alors, certes, un débat courtois et argumenté est préférable, mais il est, aussi, dans certaines situations, des provocations qui appellent des réponses aussi radicales que les nuisances qu’elles se permettent de justifier, et de prôner.
Il me semble que la véritable violence est là, beaucoup plus que dans une réponse un peu vive, et largement méritée.
Que la violence intervienne dans le débat public me semble inévitable, dès lors qu’elle est le fait quotidien d’une réalité imposée par les responsables de situations d’une extrème violence.
je le regrette tout comme vous, mais n’en suis en rien responsable.
Cordialement aussi.