@ annie : Ne confondez pas tout, il ne s’agit pas pour la plupart des intervenants qui s’opposent à CE vaccin d’être contre tous les vaccins, ou contre le principe de la vaccination. Il s’agit ici de comprendre pourquoi une grippe qui a pour l’instant fait moins de morts à l’échelle planétaire que les grippes saisonnières en France, fait l’objet d’une telle débauche de précautions sanitaires et de surmédiatisations. Vous qui semblez connaître l’Afrique, ne pensez-vous pas qu’il y a en Afrique d’autres maladies qui font chaque jour plus de morts que cette grippe A en 7 mois, et pour lesquels des solutions existent, sauf qu’ils n’ont pas les moyens financiers d’acheter de quoi se soigner ?? Et je ne vous parle pas des famines...

@ Fonzibrain : Merci pour avoir eu la patience d’exposer l’ensemble des éléments du dossier à charge.

Par rapport au fond du problème, il y a quand même un problème majeur et contradictoire entre désir génocidaire et promotion acharnée et démesurée des produits destinés à lutter contre la pandémie. La débauche médiatique pour nous refourguer tout un arsenal contre la grippe semble bien rentrer dans une logique de profits colossaux pour une minorité et d’écran de fumée par rapport à la crise financière et l’absence totale d’intervention des politiques pour mettre un terme à ce système. C’est de loin la thèse la plus probable.

Pour le génocide : Si on se vaccine, c’est donc que l’on fait partie d’un pays riche, et comme ce vaccin en lui-même est potentiellement dangereux, on prend un risque non négligeable. Rappel : un vaccin ne peut être élaboré que si on dispose de la souche... le H1N1 est très contagieux mais rarement mortel... le vaccin élaboré pour ce type de virus sera donc complètement inefficace contre une forme mutée qui pourrait elle se révéler potentiellement dangereuse. Donc, se vacciner dès à présent est un bon remède pour les finances de l’industrie pharmaceutique, mais a plus de chances d’engendrer des problèmes sanitaires que d’en résorber.

Si on fait partie d’un pays pauvre, pas d’argent, donc pas de vaccins, que ce soit pour H1N1 ou HnNn... Donc, si l’objectif est génocidaire, soit le vaccin est efficace, et seuls les habitants des pays riches s’en sortiront, soit le vaccin est dangereux, et n’affectera que les habitants des pays riches... ce qui constituerait un manque à gagner par une perte énorme de clients. Soit le virus en cours d’élaboration est LE danger, et donc vaccin actuel ou pas, on va tous morfler. Le problème, avec ces cons de virus, c’est qu’une fois qu’ils sont lâchés dans la nature, ils font un peu comme bon leur semble, et rien n’assure les auteurs d’un tel génocide que la mutation suivante ne sera pas létale même pour eux... Les armes bactériologiques qui dorment dans la plupart des labos des armées y restent bien sagement pour cette raison, car c’est une arme difficilement contrôlable.

Pourquoi alors les pouvoirs politiques ne mettent pas fin à tout ce qui se dit sur internet. Ecoutez les medias, lisez-les... vous trouvez qu’on entend beaucoup un autre son de cloche que le discours majoritaire ? Vous pensez que combien de personnes sur 100 se posent les questions que nous nous posons ici-même ? 15% ? 25% ? 30% ?... En tout cas beaucoup moins que tous ceux qui sont formatés par les medias habituels et n’entendent que le son de cloche alarmiste. Alors pourquoi faire du ramdam en s’en prenant à ceux qui exposent des arguments contraires ? C’est le risque d’exposer aux citoyens lambda un autre son de cloche et de l’amener à se poser des questions. Si l’objectif de convaincre 60% des gens de se vacciner est atteint, c’est l’hyper jackpot !! Proposer un médoc contre une maladie, s’est bien, mais vendre un médoc à des gens biens portants, c’est le top en terme de marché. 

Au cas où certains l’auraient oublié, ces mêmes industries avec le concours des « autorités politiques et sanitaires » (enfin, l’Afsap, l’inserm et l’Académie de médecine, dont je vous recommande de regarder les membres et les financeurs de leurs travaux pour évaluer leur indépendance... fort heureusement, grâce à la réforme de la recherche et l’entrée du privé partout, aucun son discordant ne se fera plus entendre bientôt), ces mêmes « autorités » donc, ont déjà essayé de nous refourguer un vaccin pour l’hépatite B et plus récemment pour le papilloma virus (là encore, renseignez-vous sur le taux de mortalité de ces pathologies, pour comprendre l’urgence sanitaire...). D’ailleurs, un exemple, le vaccin pour l’hépatite B n’est pas obligatoire, et pourtant lors d’un contrôle des vaccins au collège, un de mes enfants est revenu avec une fiche sur laquelle le vaccin contre l’hépatite B était inscrit conjointement à ceux du BCG et du DTP avec la mention « pas à jour ». Une honte, qui aura le mérite de culpabiliser certains parents qui se résigneront sans doute à faire ce vaccin, et donc de faire gagner tomber quelques menues monnaies supplémentaires dans l’escarcelle de industries pharmaceutiques.

Maintenant, que chacun fasse son choix en son âme et conscience. Je rappelle aussi qu’on a pas fait autant pour le Sida autrement plus contagieux et létal que cette grippe A.
Quant à ceux qui nous serinent que ceux qui ne se feront pas vacciner sont quasiment des criminels parce qu’ils mettent en danger la vie d’autrui... Je suis assez surpris de leurs commentaires de grands maîtres qui distribuent bons et mauvais points sans jamais avoir développé un seul argumentaire un tant soit peu étayé pour contrer les points soulevés par ceux qu’ils méprisent.