Le Réchauffement Climatique Anthropologique est une chimère. L’homme n’influence pas le temps.
L’augmentation du taux de CO2 dans l’atmosphère est une conséquence du réchauffement climatique et non l’inverse. Essentiellement liée à la respiration des océans qui libèrent du CO2 en se réchauffant et l’inverse en se refroidissant. Il ne représente que 5% des gaz à effets de serre et sur ces 5% la part humaine dégagée chaque année est minoritaire.
La taxe carbone est utile dans le sens où il faut économiser l’énergie quelle qu’elle soit. Cependant l’énergie fossile est déjà taxée à hauteur de 60 70% et cela implique déjà des comportements plus économes.
Le pétrole se raréfie, nous passerons dans quelques décennies dans une industrie de pénurie. Le protocole de Kyoto est en fait un frein au développement des pays comme le Brésil ou l’Inde. Les USA qui ne l’ont pas ratifié pourront continuer de se goinfrer tranquille, transformer leur économie et assoir leur domination mondiale tandis qu’on tapera sur les doigts des pays cherchant à se développer en leur disant qu’ils vont détruire le monde. Ce qui est bon pour moi ne l’est pas pour les autres. Laisser le pétrole qui reste aux pays de l’OCDE, ce sont les motivations. Voilà pourquoi le RCA n’est pas remis en cause et doit être admis comme une vérité absolue.
Le temps change, périodes chaudes, périodes glacières s’écoulent,
la terre poursuit son grand voyage dans l’univers, abritant la vie. L’effet de serre évite à la Terre les froideurs de
l’univers. Nous devons à tout prix aimer et protéger notre vaisseau et
tous les biotopes qu’il abrite en son sein. Minimiser notre impact sur
le monde tous ensemble, tous les jours en cherchant à toujours
s’améliorer, soyons les jardiniers de la planète, pas des fossoyeurs
d’espèces animales et végétales. Il ne faut pas cacher les vrais
questions derrières des plans géostratégiques dont l’humanité n’a rien
à faire. Il ne faut pas cacher les vrais problèmes, les vrais
responsabilités derrière un chiffon rouge qu’on agite sous les yeux du
public. Aujourd’hui le CO2, les bonus, les talibans, les paradis
fiscaux ... Demain l’azote, le sel, la grippe que sais je.
Nous sommes collectivement responsable, ne laissons pas la
démocratie dans les mains des techniciens ou de spécialistes qui savent
ce qui est bon pour nous et ne laissons personne penser à notre place.
Gardons l’esprit ouvert et le sens critique, remettons tout en question
tout le temps. Il faut savoir raison garder et définir ensemble nos
vrais priorités environnementales : énergie renouvelable, nucléaire, OGM, pesticides...