Comme le dit bien l’auteur (tiré du magazine le point, je crois bien), il y a 1/3 de mauvais profs, 1/3 de moyens et 1/3 de bons.
Pour ces derniers, le travail de prof est souvent une réelle passion et ils ne vont pas hésiter à travailler fort durant les vacances. J’en connais certains qui travaillent en lycées professionnels et qui préparent des projets pédagogiques (incluant l’échéancier, le budget prévisionnel,etc) pour leurs classes (par exemple la restauration d’une vieille scie à eau à Arreau, dans le 65,...) durant leurs vacances. Et souvent, ces profs ont des nouvelles de leurs anciens élèves qui leur demandent conseil dans certains choix professionnels ou qui sont juste contents de leur donner des nouvelles.
Bien sûr, j’en connais d’autres qui n’en n’ont rien à branler et qui passent des heures de cours de maths à faire visionner à leurs élèves des matchs de foot pour avoir la paix (véridique !!!)
Pour moi, la question serait de
- comment identifier les bons profs
- comment récompenser les bons profs y compris financièrement, mais c’est une proposition que les syndicats refusent (idem pour avantager les profs qui travaillent dans des conditions difficiles dans les ZEP ou dans des zones rurales isolées) au nom d’une soi-disant égalité de traitement face à un même travail (alors qu’en réalité le travail est très différent).
- comment inciter les autres à s’impliquer davantage dans leur travail et/ou à leur fournir un appui efficace face aux problèmes qu’ils peuvent avoir (en gros, avoir une réelle gestion des ressources humaines)