Pour répondre à Bcordelier et Pingveno.
Concernant le kotava :
Au sujet de sa neutralité du vocabulaire, elle ne réside que sur l’apparence, car le champ sémantique est très proche des langues européennes, contrairement à l’esperanto. De plus lors d’une discution sur un forum un intervenant avait fait remarquer un grand nombre d’idiotismes européens dans le kotava. Ensuite pour la congugaison, comme le dit Pingveno les pronoms sont appris en double et le kotava semble aussi répétitif que l’esperanto sur la conjugaison. Au niveau des notions aggultinantes le kotava possède un certain nombre de limites admisent par certains de ses locuteurs ( par exemple certaines formes verbales), en fait sur l’aspect aglutinant le kotava se rapproche plus de l’ido par une forme plutôt dérivationnelle.
Au sujet de l’esperanto :
L’accusatif reste un atout non négligable dans certaines ambiguités, d’autant plus que suprimer l’accusatif induit de nouvelles règles à appliquer pour la compréhension. Donc quand on veut y gagner on y perd aussi. Mais il faut reconnaître quelques problèmes comme sur les noms propres.
Pour le fundamento, c’est surtout la majorité qui l’a voulu et les reformes types ido par une toute petite minorité. D’autant plus que se sont 16 règles de base indiquants qu’il faut être compréhensible. De toute façon certains points de l’ido ont étés repris( certains radicaux) par la suite en esperanto et d’autres non ( la perte des correlatifs).
Pour finir je trouve assez étonnant quelqu’un affirmer dire que sa langue le kotava modifie ses règles par la majorité des locuteurs, tout en disant que le fundamento choisi lui même par majorité c’est mal.