Bon, je constate que tu ne sembles même pas connaître la version évidente puisque ton explication est différente... C’est assez grave de faire un article défendant une version que tu ne connais même pas...
En fait, la bonne réponse était les flashfire provenant de l’inflammation du kerosène au bout d’une équipée de plus 300 mètres dans des tubes borgnes, équipée durant laquelle elle laissa tranquille les étages intermédiaires et inférieurs de la tour.
Seul problème : il n’y a aucune argumentation en faveur de cette théorie qui est juste postulée dans le rapport du Nist comme une vérité intangible.
Or, de nombreux scientifiques s’accordent à penser d’une part, que cette théorie est physiquement impossible, d’autre part que si elle l’était, elle n’expliquerait pas les phénomènes décrits par des témoignages concordants, à savoir :
- incinération de corps à l’intérieur et à l’extérieur des ascenseurs.
- explosion de véhicules stationnés devant l’entrée de la tour Nord (deux brûlaient).
- fusion constatée sur le bureau qui se trouvait en face de l’ascenseur et de l’elevator bank.
- décollement des plaques de marbre des murs.
- combustion instantanée des corps (en semblant laisser intact les vêtements) ;
- phénomène très bref, foudroyant et des développant des châleurs extrêmes et ne provoquant aucun incendie.
Plus que jamais, les mêmes debunkers perdront la face en soutenant que le Nist a pu valablement se contenter de la la réponse sybilline postée ci-dessus pour remplir le mandat large que lui avait confié le Congrès.
Par ailleurs, les débris enflammés qui se sont précipités dans les conduits d’ascenseurs, c’est un peu vague et tu tires celà d’où ? Cela ne te fait rien que ton explication soit différente de celle du Nist.
Pauvre Quen-tin ! Avec un seul exemple, on peut démontrer à quel point ton article est une mystification complète...