Les différences entre les 4 batiments que vous citez et le WTC 7 :
Les 4 que vous citez étaient directement adjacentes aux tours alors que le WTC 7 était séparé d’un pâté de building.
Les 4 que vous citez étaient beaucoup moins massives que la tour
n°7. Ces 4 tours ont été pulvérisés en partie par la chute des tours,
et ont été terminés en démolition contrôlée quelques jours après les
évènements. Dans l’une de ces démolitions terminales le terme de « pull
it » (la n° 5 je crois) est d’ailleurs utilisé.
Le WTC 7, séparée par un paté de buiding , de 47 étages, n’était
touchée que par des feux limitésà une dizaine d’étages maximum.
Impossible que des incendies aient entrainés une chute aussi
parfaitement rectiligne, homogène, à la vitesse de la chute libre.
Comme le rappellent ceux qui connaissent le dossier, la dernière
version du NIST datant de 2008 dit qu’une nouvelle loi de physique des
constructions est nécessaire pour expliquer l’effondrement de cette
chute. Ce dernier aspect est une grotesquerie scientifuique aussi
grossière que le lyssenkisme, lorsque la dialectique marxiste
soviétique affirmait pouvoir expliquer la génétique. Lorsqu’un système de pouvoir s’est substitué au seul pouvoir de la scientificité dans la perspective de dire le vrai. Lorsqu’on est plus expert parce que l’on accepte de tenir un discours faux plutôt qu’un expert qui s’appuie sur des faits.
Et si le système médiatique est si terrorisé d’ouvrir librement le débat sur ce sujet, c’est d’une part parce que cela rend visible d’une façon totale et irréversible sa pertinence à dire le vrai et donc son pouvoir social, et d’autre part parce que les groupes militaro-industriels, qui se sont partagés les décombres de la presse indépendante, sont les premiers bénéficiaires de l’ère de guerre sans fin que le 11 septembre a permis.
Mais cela, les crétins, les moutons, et surtout les connardsne voudront jamais l’accepter car cela remettrait en cause leur petit quotidien, obligés qu’ils seraient, ces collabos involontaire ou volontaires pour certains, d’en tirer les conclusions relative au caractère criminel de toute une partie de nos élites.