Chanteclerc : « Un incendie massif de plus d’une heure au niveau des TWC ne met pas la puce à l’oreille , mais l’explication nanothermite,synonyme d’une explosion immédiate et contenue ( car sans projection extérieure ), leur convient !... »
Des incendies localisés, certainement pas massifs, qui allaient en faiblissant, comme le montre l’observation attentive des vidéos.
Dans un building, la chaleur monte, donc elle s’accumulait logiquement au dessus de la zone de crash, surtout dans la tour Nord ou il n’y a que quelques étages au-dessus de cette zone.
De plus le WTC est un bâtiment climatisé, les fenêtres ne s’ouvrent pas.
De toute façon, les tours comme celle-ci sont prévues pour subir des incendies autrement importants sans subir de dommage structurels. Une température approchant les 100° devient insupportable pour l’homme, pas pour de l’acier.
Des tours se sont embrasées entièrement pendant des heures sans s’écrouler.
Philippe D « Succès faramineux ?
Villach nous dirait que c’est un leurre ! »
T’a qu’à croire.
« Il faudra choisir : sectionnées ou affaiblies. Mais cela est tel qu’ils se mélangent les pinceaux. Ils ne savent même plus où il s en sont. Car à la fois ils déclarent que ce n’est pas avec l’affaiblissement des poutrelles que la tour a pu s’effondrer, mais plus loin disent que ce sont bien les poutrelles affaiblies par la naothermite qui a provoqué les effondrements. Ils disent dans le même raisonnement blanc et noir et sans se poser de question de leur propre intégrité de raisonnement et leur capacité à voir un oxymore. »
L’énervement vous fait perdre toute capacité à raisonner.
« le pouvoir calorifère d’une telle épaisseur, même sur toute la surface de la poutre, ne ferait augmenter sa température que de 18° dans le meilleur des cas. »
Il s’agissait visiblement de restes sur des débris. pffff