Leon : « Alors, Philou, puisque vous nous ressortez toujours le truc, on va vous faire toujours la même réponse :
Les vitesses des chutes ont été de 216 et 244 km/h, contre 316 km/h qui aurait été la vitesse de la chute libre. Ce n’est pas une « quasi-vitesse de chute libre ».
Merci d’utiliser pour une fois des arguments.
Bon, je ne suis pas un spécialiste de la physique. J’ai donc été me renseigner.
Je crois qu’il faut corriger quelque chose. La vitesse de chute libre n’existe pas en fait en tant que telle. Un objet qui tombe dans l’air subit une accélération en fonctions de sa masse et bien sur de la valeur de la gravité. Il ralentit ensuite son accélération en fonction de la résistance de l’air jusqu’au moment ou sa vitesse se stabilise.
C’est ainsi qu’une plume descend bien plus lentement qu’une bille de même poids.
Ce qui serait une estimation exacte est en fait l’accélération d’un objet en chute libre, quand la résistance de l’air est faible.
L’exemple que je donne est celui d’une bille lachée du toit d’une tour du WTC, qui est un bon exemple pour avoir une idée de la rapidité de l’écroulement même s’il faut le relativiser.
J’ai été voir sur le site Bastison (sur les pages en cache exactement car il est out) d’où viennent ces chiffres.
Ils correspondent à une étude de F. R. Greening que l’on trouve ici.
Je me refuse à la commenter vu qu’elle est en anglais et assez technique. Elle demanderait donc une analyse longue que je ne vais pas faire ici, vu le peu d’honnêteté et de volonté de débattre sainement de mes contradicteurs (j’ai déja donné).
Je remarque seulement que les vitesses que vous donnez correspondent aux vitesses finales des débris (Final impact velocity) et ne me paraissent pas très pertinentes en fonction de ce que j’ai avancé sur la vitesse de la chute libre.
Si vous voulez vraiment débattre de ce point, traduisez le passage du document et défendez-le ici.
»Le calcul montre que la différence entre les deux chiffres est tout à
fait cohérente par rapport à la résistance (faible) opposée à la chute
de étages au-dessus de ceux qui avaient subi l’impact des avions."
La résistance faible des étages inférieures n’existe que dans vos allégations. Ces étages comportaient un noyau ultra-résistant dont rien ne laisse à penser qu’il ait subi le moindre dommage en dessous de la zone de crash.
« En considérant que c’est un seul étage qui s’effondre sur lui même initialement, le dénivelé étant de 3,7 m entre deux étages, lorsque l’étage supérieur entre en contact avec l’étage inférieur la pesanteur a induit une vitesse de chute de 8,85 m/s (32 km/h) . »
En supposant qu’il y ait eu une rupture au niveau d’un étage, il reste une résistance évidente de ce même étage :
- la partie inférieure des poutres, ainsi que toutes les murs du noyau.
- Les poutres extérieures de l’étage qui n’ont pas été coupées, soit nettement plus de 80%
- Les mobiliers et cloisons de l’étage.
On est donc loin de pouvoir considérer une accélération proche de la gravité.
« C’est là un cas favorable où il est considéré que seulement un étage s’effondre sur lui-même lors de l’amorce du mouvement, autrement dit, l’avion est supposé être resté sagement coincé entre deux planchers... Admettons. »
Incompréhensible, désolé.
D’une manière générale, la théorie de l’écroulement par l’impact du bloc d’étages supérieur me parait très discutable.
Il faudrait admettre qu’il y aurait eu rupture simultanée de tous les points d’attache en même temps. Et même comme cela, il n’y a aucune raison que la résistance des étages inférieurs soit faible, notamment celle du noyau hyper-solide de 47 colonnes inter-connectées. , et elle commence immédiatement, par la « rencontre » du morceau supérieur du noyau avec la partie inférieure. On ne voit pas comment une accélération suffisante du bloc supérieur jouerait ce role de « marteau » qu’on essaie de faire avaler. Et même avec une accélération au niveau de celle de la gravité, la résistance devrait être infiniment plus forte qu’elle ne se produit lors de l’écroulement, notamment par la présence du noyau.
Si on considère une rupture au niveau de la zone de crash, la raison voudrait qu’elle se fasse du coté endommagé, aussi bien au niveau du noyau que des poutres extérieure.
Dans le cas d’une rupture de ce genre, le bloc extérieur basculerait de ce coté et viendrait écraser l’étage inférieur en dessous de ce coté. Dans ce cas, la seule hypothèse crédible est celle d’un basculement du bloc supérieur.
C’est ce qu’on observe sur la tour Sud où on voit nettement le bloc supérieur basculer de coté. Ce qui est inexplicable, c’est que ce bloc arrête son basculement et tombe alors tout droit.
La seule explication est alors que toute résistance a disparu en dessous de ce bloc, ce qui ne peut s’expliquer par un écroulement « naturel », car cela violerait les lois de la physique.
J’avais lu une étude sur l’écrasement successif des étages qui, avec tous les paramètres poussés à fond donnait une durée d’écroulement minimum de 96s, ce qui me parait acceptable.
La seule explication raisonnable selon moi à la quasi non-résistance du bloc inférieur, est le « dynamitage » de celui-ci.
Ceci est aussi illustré par le principe de « moindre résistance » qu’un intervenant nommé ffi a très bien défendu de façon didactique, comme on peut en voir un résumé très clair sur ce fil, y compris au détriment de Moorea, de Bastison.net :
http://forum.reopen911.info/viewtopic.php?id=13159
Pour se faire une juste idée de l’argumentaire de Moorea, fondateur de Bastison, un fil de 32 pages ici :
http://forum.reopen911.info/viewtopic.php?id=11969&p=1
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