Commentaire de jack mandon
sur Calvin Russell : la trempe des perdants
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@ Sandro
Les anti-héros sont des héros qui s’ignorent... c’est Sandro qui passait par là.
Il chante la beauté qui se cache au coeur de la noirceur...pas besoin de défaire les noeuds.
Il me rappelle un poète, qui, comme lui, au cours d’une promenade, croque la pomme qui posait là pour le peintre de la réalité. ( Prévert )
ah mais ça c’est bien sur, Picasso...Sandro....les deux noms sont soulignés d’un trait rouge en même temps, quand je tape sur le clavier de mon ordinateur ?
J’arrive enfin au bout de mon enquête. Je tiens le coupable de « poésie sauvage ».
Colombo-Bourel-Jack...filatures en tout [email protected]
Derniers commentaires
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06/04 22:29 - SANDRO
C’est pas que je suis voyant, mais bon... Cette faucheuse est une trainée. Au lieu de (...)
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05/04 12:27 - moineau
merci pour ce bel article, sandro. j’ai suivi un lien d’alain trop tard mais jamais (...)
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05/10 18:05 - SANDRO
Comme je le laissais entendre en plusieurs endroits de l’article, la santé de C. Russell (...)
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24/09 11:29 - Gül
Salut Sandro, J’avais raté ce billet ! J’aime bien tes mots et tes maux.... Je (...)
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24/09 10:51 - SANDRO
Merci, Jack. Mais prendre Calvin Russell en filature, c’est compliqué et faut beaucoup de (...)
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24/09 07:31 - jack mandon
@ Sandro Les anti-héros sont des héros qui s’ignorent... c’est Sandro qui passait (...)
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