Pasou,
Ce que vous décrivez est exactement le cas dans mon quartier - tous les logements sociaux vacants sont décernés en priorité aux deuxièmes et troisièmes femmes de familles polygames maliennes, dans le but, certes louable, de leur donner leur indépendance. Mais cela se fait systématiquement au détriment de dossiers français, dont les demandes remontent des années en arrière, et qui souvent appartiennent à des familles qui habitent le quartier depuis plusieurs générations.
De plus, l’afflux de ces familles nombreuses (20 enfants de plus dans un seul petit immeuble) entraîne de graves nuisances. Chez mes voisins immédiats, les deux fils aînés sont déjà passés par la case prison, le troisième, après plusieurs délits, encore mineur, en prend le chamin. Dans le meilleur des cas, ces familles vivent en vase clos, dans le pire des cas, elles se comportement comme en territoire conquis.
Pour couronner le tout, pour dégager des appartements libres à leur intention, les fameux surloyers Boutin ont déjà chassé plusieurs familles françaises. De là à éprouver une sensation de ’nettoyage ethnique’ - certes non intentionnel - il n’y a qu’un pas.
Il n’y a que trois moyens pour contrer ce phénomène : disséminer ces personnes dans toute la région. Seul problème, soutenues en cela par les assocs, elles insistent pour rester au centre de la région parisienne ; arrêter une politique nataliste coûteuse et psychologiquement néfaste en plafonnant les allocs à trois enfants, par exemple ; ou bien, plus drastique (et impossible, en l’état actuel de la législation) réserver les logements sociaux, en priorité, aux nationaux.