Bonjour Olivier Bonnet. Excellent article qui fait froid dans le dos.
Vous écrivez : « Les autorités assurent que la pharmacovigilance sera accrue pour déceler d’éventuels effets secondaires, et rappellent que les adjuvants, qui ne sont pas indiqués pour tous, permettent d’augmenter la réponse immunitaire ».
Quelle foutage de gueule comme vous dites. La belle affaire que cette pharmacovigilance pour celui qui aura contracté une maladie auto-immune. Et qui paiera les indemnités ? Les labos ? Ils sont d’ores et déjà exonérés. On voudrait croire que c’est l’Etat qui paiera. C’est-à-dire, nous. La droite n’est pas à cela près en matière de déficits publics. Mais ce n’est même pas sûr, au vu du procédé de vaccination massive envisagé : trois personnes travaillant en chaîne pour inoculer le poison. Lequel des trois sera le lampiste ? Cela fait un triple rempart protégeant les « autorités ».
J’ai dit poison. Ce que j’ai compris des explications de Martin Winckler notamment, c’est ceci : outre les poisons, comme le mercure par ex., le vaccin contient un fort pouvoir immunogène. Le squalène, qui est sensé renforcer la réponse immunitaire ne va-t-il pas au contraire l’inhiber ? Et cette hypothèse me paraît la mois dramatique : je n’évoque pas le mécanisme qui déclencherait une maladie auto-immune.
« Les adjuvants ne sont pas indiqués pour tous les vaccins ». Si l’on accepte la vaccination mais que l’on veut un vaccin dépourvu d’adjuvants, non seulement, on risque de se voir répondre que c’est réservé aux femmes enceintes et aux enfants en bas âge, mais pire, on risque de vous assurer que c’est le cas du vaccin qu’on vous délivre, sans qu’aucun contrôle ne soit possible. Pharmacovigilance ? Comment cela serait-il possible dans des conditions aussi peu transparentes. Et s’il s’avère ultérieurement que tel adjuvant est nocif mais si vous ne pouvez prouver qu’on vous l’a injecté, vous n’aurez aucun recours.
Il est « beau » ce libéralisme qui dit aux riches « greed is good » et qui incite, si ce n’est pas oblige les populations à se faire vacciner « pour les autres » !
« Parfois on a le sentiment qu’il y a tout un secteur industriel qui attend presque qu’une pandémie éclate. » A force de crier au loup, ils pourraient « réussir » à le faire venir ! Et ce jour là ils célèbreront la victoire à la Pyrrhus la plus amère que l’humanité ait connue.