... vous savez très bien que l’option avait été prise par Uribe, TALL, car à cette époque elle n’était d’aucun intérêt pour lui. Elle l’est devenue SEULEMENT que lorsqu’il a tenté un 3eme mandat, et pensait bénéficier de son soutien si elle était libérée ; ce que la CIA a fait. Pas les services d’Uribe. Comme vous êtes menteur, vous oubliez de préciser qu’au même moment, un président français, averti de la mauvaise santé de Bétancourt à ce moment là va faire envoyer un avion médicalisé qui attendra 4 jours une libération (avec rançon) tentée par la voie d’un prêtre mais qui ne se fera pas.. entretemps Uribe a fait bombarder par des mercenaires américains et leurs avions le camp de Reyes, et peu de gens donnent cher de vie de Bétancourt, qui a failli elle aussi mourir sous les bombardements. Vous vous accrochez à VOS fantasmes : la réalité est celle que je DECRIS.
Même leurs propres otages ils n’en n’avaient rien à cirer : les familles ont été tenues à l’écart durant toute leur détention : la raison : c’étaient des MERCENAIRES de DynCorp, et il était préférable de les voir morts que de les retrouver, car ils auraient pu dire ce qu’ils y faisaient : de l’ESPIONNAGE, et non de l’épandage anti-drogue. Dès leur liberté, ils ont été promptements interdits de communiquer avec la presse. La vidéo de leur retour
le montre avec éclat. C’est un des patrons de DynCorp qui les reçoit, celui qui a construit les hangars où les hélicos ont été maquillés. Trois jours avant l’opé
ration, McCain fait une visite surprise (t avancée) à Uribe pour lui apprendre que c’est imminent, les hélicos sont prêts. Trois jours après, Uribe clame partout que son armée est la grande partisane du sauvetage : elle n’y est pour rien.
Vous pouvez toujours tenter autre chose, TALL, c’est l’histoire qui me donne raison : pas vous propos insidieux , fielleux et méprisants.
Et encore, les lecteurs n’ont pas lu vos injures sur ma famille, éructées ici-même et effacées aussitôt : n’essayez pas de vous montrer tel que vous n’êtes pas, TALL. Odieux, et menteur.