Salut Gabriel,

Cela dépend de ce qu’on appel le pouvoir. Si c’est de celui de rester a toute force accroché en divisant pour mieux régner, et bénéficier de l’effet leviathan de hobbes, oui tu as tout a fait raison,

mais si c’est le pouvoir de faire des politiques concrètes pour modifier et rendre plus viable ; plus motrice et plus motivante la réalité, il y a de nets divergences.

Tu as raisons de nombreux faux débats sont distillés sur des sujets choisies, dont la caractéristique essentiel est de donner aux gens la certitude qu’ils ne peuvent rien y changer, que sans le système point de salut, alors qu’il est mortifère, gérer par des personnes âgée a la construction intellectuelle dont l’essentiel est de vouloir garder le pouvoir sur des logiques passéiste, de respect obligatoire, de moraline hystérisant servant d’argument couperet a toute dialogue, sur fond d’identité et de pouvoir qui finalement se sentent mourir dans la mondialisation qui les dépasse.

La réalité du pouvoir est fragile et ne tiens que sur le rêve obligatoire des uns, et l’impossibilité de crier leur cauchemar des autres.... aussi, pour répondre a ta question, je pense que sur chaque faux débat dont le public s’empare, il y a 2 tendances qui s’affrontent,

celles qui y cherche de quoi crier un bon coup, même si c’est éloigné du sujet, et finalement retourner dans le train routinier, et ceux qui veulent changer les opinions pour changer le train train routinier. Pour l’instant, ce sont les premiers qui gagnent jusqu’à ce que trop d’agressions réelles, trop de douleurs constatés, obligent par la force de la réalité, a changer les train train...

Sarkozy a prétendu changer le réel, il n’a fait que changer le traitement journalistique du réel, parce que le réel est supérieur en puissance a son reflet médiatique et politique, et tant qu’ils n’auront pas compris ça, ils ne comprendrons rien, il n’y aura pas de vrai pouvoir, ni de véritable politique, ni renaissance dans l’engagement des Français dans leur France, toute origine de destins confondus.

On ne gouverne pas contre la vitalité des Français, sa c’est la leçon qu’a du mal a comprendre le PS, on ne gouverne pas en étant un mauvais exemple de leadership pour la vitalité des Français, ça c’est la leçon que va comprendre dans la douleur la droite.

En attendant, pris en tenaille entre deux courant politique duo politique d’’incapable idéologiquement, le citoyen ne peut que les regarder comme un mauvais spectacle éloigné de sa réalité, et n’espérer en la politique et dans le « pouvoir », qu’une seule chose, qu’il laisse ce qui permet d’être solidaire ( sécu, etc...), et les oublies sans en plus leur demander d’être spectateur de leur médiocrité.

amicalement, barbouse. Il ne faut pas s’inquiéter, en France comme en Europe, chaque mort d’une époque est suivie d’une Renaissance, l’amour de l’avenir dépasse systématiquement la peur de l’apocalypse dés les premières décennies passé dans chaque nouveau millénaire.