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Commentaire de JL

sur La moitié des médecins et les trois quarts des infirmières refusent le vaccin contre la grippe A


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Francis, agnotologue JL 3 octobre 2009 09:53

Bonjour Liebe, vos deux commentaires sont très intéressants. A cela votre contradicteur, qui tel un élève obtus commence par dire par dire « vous pouvez raconter n’importe quoi » répond par son leitmotiv obsessionnel : « à chaque fois que l’on a abandonné les campagnes de vaccinations massives avant que la maladie ne soit totalement éradiquée, elle s’est à nouveau installée. » Cette affirmation est aussi gratuite que non démontrée.

Mais à supposer que cela soit vrai, la première question qui se pose est la suivante : est-il possible d’éradiquer un parasite par le biais de la vaccination sur une population de 7 milliards d’individus dont la moitié vit dans des conditions que même nos animaux domestiques ne supporteraient pas ?

Partant, s’il n’est pas possible d’éradiquer la maladie de cette façon, si le virus tel le matou de la chanson, revient inlassablement, alors je pose la question : à qui profite le crime ? Parce que les labos sont comme les traders : pile ils gagnent, face nous perdons : si leur vaccins sont mauvais ils n’en subissent aucun préjudice. Au contraire, tout est à refaire, voire plus -effets secondaires, virus mutants, etc. Cela correspond exactement à du terrorisme. Le terrorisme est un fascisme, et réciproquement.

Question à tous les spécialistes : pourquoi le virus de la grippe mute-t-il ? A mesure que les gens acquièrent une immunité, ce virus devrait péricliter parce qu’il trouvera de moins en moins d’hôtes. Mais l’homme étant mortel, pas le virus – enfin, la souche – les individus jeunes représentent une nouvelle opportunité pour ces virus là. Il me semble qu’on devrait considérer les virus peu dangereux comme des amis de l’homme en ce sens qu’ils nous protègent contre des virus beaucoup plus méchants.

Rappelons que les vaccins représentent 85% du chiffre d’affaire de l’industrie pharmaceutique, et que, capitalisme oblige, ces labos sont condamnés à disparaître ou faire croitre leurs chiffre d’affaire. Car les labos n’échappent pas à la règle de tous les organismes vivants : vaincre ou périr.

C’est pourquoi il faut impérativement, pour la survie de l’homme, que l’industrie des vaccins soit nationalisée à 100%.


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