@ Armelle
Pour tenter une approche conciliante , il me semble que la passion des commentaires qui anime cet article, est révélatrice de la grande susceptibilité qui régnaient à l’époque romantique. Tout de même, perdre la vie si jeune...une époque, un pathos qui bousculaient l’étau classique et totalitaire qui s’était forgé avant la vision humaniste des philosophes « lumineux »
Merci Armelle pour cette passe d’arme, les duels ne me tentent pas.
Graphologiquement, Pouchkine semblait réduit aux abois, son entourage, la vie qu’il menait.
Il supportait mal l’emprise d’autrui sur sa personnalité...mais il n’avait pas la force de se libérer .
L’amour propre morbide du romantique et de Pouchkine en particulier, sa jalousie le rendaient méfiant, soupçonneux, replié sur lui même.
L’abus des spasmes, les arrêts brutaux du tracé, un grand nombre de voyelles fermées, autant de signes qui placent cet homme en danger. Il inscrit la tragédie dans son écriture.
Il eut été souhaitable de savoir mieux tirer...ou bien de changer d’époque.
Auriez vous l’amabilité de me contacter par courriel ,
Merci Armelle