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Commentaire de dom

sur La révolution n'aura pas lieu !


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dom y loulou dom 6 octobre 2009 16:11

votre constat omet certains points importants.

Les révolutions jusqu’ici venaient toujours à cause de l’oppression et du levier « alimentation » comme arme majeure du pouvoir en place.

La situation n’est pas différente aujourd’hui alors que les foules sont habituées à s’approvisioner aux supermarchés.

Le problème des tenants sont les prises de conscience, elles sont de l’ordre de l’esprit, de la mise en lumière de ce qui était savamment caché à l’attention du nombre, les mythologies qui peuplent l’espace rêve des vivants maintiennent leurs esprits dans certaines perspectives.

Le fait de tenir tous les ressorts des finances quelles qu’elles soient dans les mains des mêmes familles par exemple.

Appellez-les bourgeois serait faux, apellez-les nobles ce ne serait qu’une couverture de magazine pour décrire des lignées qui se prennent pour des dieux et qui ont une origine différente de l’histoire commune de l’humanité qui a dû patauger dans les guerres inlassablement orchestrées par ces dites familles.

Leur souci est de canaliser les frustrations orchestrées. Tant qu’elles peuvent le faire elles sont victorieuses, toujours.

Tant qu’elles arrivent à pousser les hommes dans la violence elles maîtrisent le cours desévènements, car leur pouvoir s’est construit entièrement sur la violence étatique et de la mise en place d’armées chargées de maintenir « l’ordre sacré hiérarchique ».

Ce n’est pas une fatalité. Le plus grand danger pour eux est l’EVOLUTION des consciences, pas la révolution sanglante.

Pas étonant dès lors qu’elles en aient souvent été les instigatrices pour canaliser les foules dans le n’importe quoi assurant à la barbarie de prendre le dessus. Une fois la babrbarie installée on revient à un ordre encore plus barbare, mais remettant les citoyens en place de soumission quasi absolue. La terreur apèrs la révolution française parle d’elle-même.

Mais comprendre les rouages amène à comprendre les leviers d’action qui sont d’abord donc de l’ordre de l’esprit.

Qu’est-ce qui est accepté comme base commune de réalité, voilà sur quoi nos esprits devraient toujours être focalisés.

Chaque époque voit ses plaies imposées par le pouvoir économique. Donc vous avez raison de dire et nous de souhaiter qu’une révolution n’ait pas lieu, car seul un système de tyranie absolue serait immédiatement justifié par une insurection violente.

Il nous faut mieux discerner les éléments auxquels nous avons à faire pour « trier le bon grain de l’ivraie » qui nous étrangle.

Si nous constatons que des intermédiaires jouent les malins avec nos productions et notre pouvoir d’achat, alors très pacifiquement, comme des personnes adultes, nous choisissons.

Les producteurs vendent aux supermarchés pour un salaire fixe de production. Les supermarchés-unis décident alors lbrement des prix auxquels ces productions seront vendues aux consomateurs. Ok.

Les malins aiment le pouvoir. Ils jouent et tirent sur la corde. Ils commencent à sous-payer les producteurs et demandent des prix exorbitants aux acheteurs poiur s’en mettre plein les poches, C’est ce à quoi nous assistons.

Ils prennent enn plus taxes et impôts, des plus-values imposées en ne produisant rien.
 
Ces bulles spéculatives sont partout et oppressent de plus en plus les citoyens, producteurs ainsi que consomateurs de biens.

On voit le temps venir où l’avidité à laquelle mènent les courses de pouvoir vont amener ces intermédiaires à vouloir imposer des famines si leurs lignes politiques impériales et leur machine guerre, leur manne principale, leur pouvoir terrestre absolu, sont mises en question.

Nous en sommes sur ce point.

Ces pouvoirs font alors tout pour amener le peuple à se rebeller violemment, parce que la répression est la manière la plus facile de contrôler les populations et ramener le troupeau de brebis dans son enclos militariste. Taxes, mensonges gros comme des montagnes exposés sans scrupules dans l’objectif du « pêtage de plombs collectif »... ils en sont toujours sortis victorieux.

Aujourd’hui ils disnet ouvertement qu’il est plus facile de tuer un million de personnes que de les contrôler. Le charme est rompu depuis longtemps.

Mais si les gens deviennent conscients du fait que ces intermédiaires ne servent strictement à rien sauf à leur pourrir la vie... pourquoi continueraient-ils de vendre leurs biens à ces intermédiaires ?

Et, très souriants envers leurs bourreaux technocrates, se passent d’eux pour revenir à la vente directe sur les marchés des villages, pour revoir yeux dans les yeux leurs acheteurs et demandant dès lors le prix convenable pour pouvoir vivre décemment et les acheteurs ne pas être grugés de leurs derniers centimes pour une miche de pain, mais retrouver une saine répartition entre ce qui est produit et ce qui esr consommé, les supermarchés créant une telle surabondance de biens que tant est jeté qu’on pourrait nourrir plusieurs pays avec les restes jetés par la surconsommation.

Cette surconsommation n’est pas due aux bouches à nourrir puisque celles-ci deviennent de plus en plus nombreuses, mais au nivellement par le bas des prix à la production et au renchérissement des produits.

Un cercle vicieux a été construit dans lequel la plupart sont persuadés quils trouveraient des famines si les supermarchés clinquants et multicolores cessaient de leur vendre autant de babioles inutiles dont la production pollue le monde.

Les producteurs ont peur de perdre quoi exactement ?

D’être sous-payés pour leur production ? C’est le cas aujourd’hui puisqu’ils doivent nourrir des intermédiaires inutiles.

les acheteurs ont peur de quoi ?

D’être pris pour des vaches à lait, des cochons-payeurs ? Ils le sont.
Autre chose ? Ils veulent en finir avec cet état de faits ?

Alors il leur faut encourager les producteurs à se passer des supermarchés et se réconforter en retournant aux bons vieux marchés d’antan où les gens encore se parlent et échangent humainement et refuser d’être transformés en animaux apeurés des uns et des autres parce que leur environnement est devenu trop abstrait et se confond avec les films d’horreur que leur servent les tenants.

Hollywood ne fut-elle pas comparée aux bâtisseurs de cathédrales par ses présidents directeurs, experts en divertissement de masses... vous croyez que ce sont des divertissements, parce que cest ainsi qu’ils sont présentés. Mais en réalité ils sont tellment omniprésents que leurs fictions sont prises par beucoup comme des vérités presque plus tangibles encore que les réalités vécues.

Sex and the city ? Desperate housewifes où ’on vous montre comment être dans la dernière vague de la gestuelle bourgeoise. Paris Hilton fait ses emplettes comme dans une série Z poursuivie par les caméras de Babylone guettant chaque apparition de ses bottes en caoutchouc. La vie-même des gens est utilisée pour entretenir une « normalité » supposée à laquelle toutes les jeunes filles devraient atteindre. Ce qui est évidemment impossible, toutes les jeunes filles n’héritant pas d’un empire immobilier. Frustration garantie. Colère à venir. coercion déjà en place. Tout est maintenu dans l’ordre des mauvais penchants humains. On leur servira une nouvelle star piurleur faire croire que les hauteurs sublimes des tenants leur sont accessibles. Ce qui est évidemment faux.

La compétition aigisée comme moteur principal de la société fait le reste.

Tous ces éléments sont de l’ordre de la prise de conscience de ce qui nous est fait en permanence.

Et les remèdes sont simples. Se passer des intermédiaires.

Que ce soit en politique, en spiritualité, en alimentation... les instituitons n’ont été que placées-là pour servir les familles des tenants.

Et nous pouvons nous passer d’eux puisqu’ils ne produisent rien, mais récoltent le gros de la production comme des charognards et en font systématiquement des horreurs.

Vous voulez un système social ? parfait, vous avez des ancêtres qui avaient déjà songé à vos problèmes et ont construit les cathédrales comme maison commune, car la nature de l’homme est simple et ses besoins basiques toujours les mêmes.

Vous voulez la santé ? Réaprenez les lois qui gouvernenent votre corps et ce dont il a besoin pour se maintenir en éuqilibre plutôt que de bêtifier devant la télé et engendrer une confiance abslue envers un système pharmaceutique qui vous aime terriblement malades.

Vous voulez la liberté ? N’attendez pas alors qu’on vous la donne, mais prenez-la, sans violence, elle est d’abord dans votre liberté de penser.

les tenants ont toujours bien compris ce fait. Observez bien comment votre esprit est mis à contribution de la machine de guerre. La playstation a l’air si inoffensive n’est-ce pas ?

C’est là votre levier le plus puissant, votre perception, car elle définit tous vos agissements.

Si vous vous rendez dépendant de ces intermédiaires... de quoi vous plaignez-vous ?
 
Vous serez forcément mangés tout crus, jusqu’au lien avec l’âme puisque le système compétitif éloigne drastiquement de la bonté.

Il faut un choix volontaire de s’y maintenir et de ne pas succcomber à tous ce héritages pathologiques qui enclenchent les besoins d’être infantilisés et d’être pris en charge par le système ou d’agir dans l’extrême violence toujours profitable à la machine de guerre et à ses tenants.

Est-ce étonant que le système utilisant le plus les rouages vaudou de la manipulation et de l’hypnose se dise matérialiste ? Voilà bien une grande supercherie, surtout à l’heure où nous aprenons l’immensité de l’esprit et les mensonges de l’histoire « officielle ».

Il faut toujours revenir aux fondamentaux, ne jamais les perdre de vue, sinon cest notre propre vie que nous remettons dans les mains de tiers qui en font n’importe quoi.

mais qui va vous empêcher de choisir la provenance de vos aliments ?
Qui vous oblige à bêtifier dans la croyance que vus récolterez plus d’amour ainsi ?
Qui vous oblige à courir derrière des coupes sans signification que celle que d’autres y mettent et qui restent sur les étagères comme des bibelots inutiles prouvant votre allégeance à la compétition des espèces ? Ou est votre propre souci d’harmonie et d’équité ? Si c’est le geste de beauté qui compte pour vous recevez mes aplaudissements chaleureux !! 

Si vous vous organisez en adultes responsables vous n’aurez plus besoin de chefs, mais de gens lucides avec qui travailler en paralelle plutôt qu’en trépignant sur des marches scabreuses d’une pyramide hiérarchique aux strapontins très instables parce que plus on monte dans les hauteurs sublimes de ces « dieux supposés » plus on pénètre un monde totalement abstrait empli de tous les démons des univers. Et ensuite on s’étonne de la guerre permanente entre les hommes ?

mais d’abord comprenez que c’est de votre fait, de votre acceptation d’une vision du monde et des hommes basée sur la compétition. Elles est toalement inutile et force déjà les bambins à se voir comme des concurrents plutôt que des partenaires.

Toute la société est pourtant basée sur l’une ou l’autre de ces optiques.

Les tenants feront tout pour vous maintenir dans la compétiton, ils ne reculeront pas même devant l’imposition de la famine ni de la destruction de votre système immunitaire ou de la stérilisation forcée des jeunes filles pour contenir notre nombre et s’assurer de notre dépendance envers eux. Les dettes pas ontractées par vous vous sont mises sur le dos et remboursement va être réclamé bientôt.

Faudra leur rappeler que ces dettes ont assuré LEUR train de vie aux tenants, pas aux masses populaires qui ne font qu’assurer la production des biens de consomation et de l’entretien du vivant de la pire des manières possibles. L’absence de douceur envers les créatures est significatif de la lobotomie et des souffrances enregistrées et c’est là le niveau d’action qui est accessible à tous, directement autour de nous, avec les êtres qui sont les sources des diverses productions, en éleur témognant gratitude et respect.

La bonté doit règner ou bien la civilisation se perd irrémédiablement dans les rouages hyperviolents de la machine de guerre.
 
Et, ô bonne nouvelle, il suffit d’appeler la bonté sur nous pour qu’elle vienne, nul besoin de se torturer à l’infini, mais accepter de voir que la force de la vie est comme l’eau, fluide elle vient à bout des plus grandes montagnes... gelée elle est cassante.

Ne vous étonez pas de vivre dans un système qui fait tout pour vous congeler le coeur, les marchands d’armes, empereurs sur la société occidentale, ne savent quoi faire de votre fluidité, de votre amour de la vie. Ils la haïssent à cause de la méchanceté à laquelle ils sont habitués et se fardent en conséquence avec latex dans les nichons. A toute vos peurs ils ont inventé des paliatifs. 

Des modèles ? Vraiment ? Passons-nous des intermédiaires, dans tous les domaines c’est du plus pur parasitage et du vampirisme.

Vous n’avez pas besoin d’intermédiaires religieux pour parler à votre coeur, vous avez besoin de gens qui vous rappelelnt l’existence de votre coeur, ainsi d’autres ont besoin que vous leur rappeliez l’existence du vôtre.

Les êtres n’ont pas besoin d’autre chose pour se rassurer et de trouver la plus haute sécurité en eux-mêmes. Leur propre volonté d’aimer et d’aider leur prochain pour être aimés et aidés en retour.

Dans ce mouvement-là il y a une possibilité de reposer la société dans la civilisation. c’est à une bataille avec nous-même qu’inconsciemment les tenants nous vouent, c’est faisable en résistant à la réactivité violente animale qui émerge de la souffrance qu’on nous impose. De les prendre sur nous ces souffrances au lieu de les projeter sur d’autres en vagues successives n’engendrant que peur et oblitération des sens.

Veillez dès lors à ne pas y succomber. 

Il n’y a pas d’exercice plus difficile à mener dans une vie d’être humain, mais aussi longtemps que les aom feront cet effort la société sera une société d’aom et non d’animaux de compagnie, de prédateurs ou de chiens savants.
 
Tous peuvent ainsi trouver l’écho à tous leurs besoins, en concordance, en résonance par sympathie, plutôt qu’en compétition stérile ou en pillage qui ne fait que nous séparer chaque jour d’avantage.


Courage, il nous faut nous réorganiser depuis la base et arrêter de mendier auprès de sourds.



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