Bonsoir Cosmic,
"Vous aurez beau, Philou, nier les faits, c’est bel et bien les Le Pen
fille et père qui ont initié la polémique et qui l’entretiennent.«
Si - lorsque la polémique commença - vous étiez trop occupé à massacrer quelques islamistes de vos propos assassins pour voir qu’un scandale naissait à propos de M. Mitterrand, c’est tout de même pas de notre faute.
Allez, c’est mon soir de bonté, je vais vous rafraichir la mémoire.
Dès Juin, déjà ça causait là dessus. Trop la flemme de vous en trouver une preuve formelle.
Le 28 Septembre, la ligue Odebi en parle. Extrait :
»Le gouvernement français aura beau jeu de revenir vers nous avec la
LOPPSI dans quelques mois en prétendant pourchasser les pédophiles sur
Internet.
Que ce gouvernement choisisse d’abord mieux ses amis...
Toute l’argumentation future, basée sur la sincérité de leurs
actions contre l’esclavage humain - Frédéric Mitterrand s’était vanté
d’avoir utilisé les faveurs de prostitués thailandais à haute dose [4]
- ou la pédophilie, est dès à présent décrédibilisée."
Le 29 Septembre, Omnibuzz sur Agoravox cite le livre, extraits repris le jour même sur le blog fdesouche
Le 1er Octobre, le FN qui lit scrupuleusement le blog fdesouche lance une pétition sur Internet.
Entre temps, pas mal de médias alternatifs parlent de l’affaire Polanski et font aussi monter la sauce Mitterrand.
Et pour finir, le 5 Octobre, Marine Le Pen lit l’extrait du livre tel que Omnibuzz puis fdesouche l’ont rapporté, face à Yves Calvi qui n’aura de cesse que de tenter d’éviter le sujet. Et effectivement à partir de là les propos sont tellement scandaleux et insupportables que ça explose au public, et que les médias courageusement silencieux jusqu’alors vont être forcé de traiter cette affaire.
Voilà, cette histoire n’a eu d’écho dans les médias que depuis l’émission ou Mme Le Pen à lu des extraits, mais sa genèse n’est absolument pas à mettre au seul compte du FN qui finalement n’a fait que reprendre une info en provenance ... D’Agoravox.
DOnc, en une phrase, tout faux une fois de plus, et connaissant votre extraordinaire mauvaise foi, nous n’en attention pas plus de votre part.