« Pour une entreprise efficace, il y a mieux que de persuader vainement les gêneurs qu’ils ont tort : les faire combattre dans des forums par des bénévoles qui ne savent même pas qu’ils le sont. » (Renève)
L’arroseur ne se rend pas compte qu’il se fait arrosé, tant il a la mémoire aussi courte que la vue : hier encore il ironisait avec d’autres au sujet d’une hypothèse que j’avais émise dans ce sens, et en plus il n’a pas vu que cette phrase se renvoie plus vite qu’un ace !
Que des bénévoles soient instrumentalisés, je ne vois guère de différence avec des gens rémunérés, sinon que les premiers sont des idiots utiles. D’un coté nous avons effectivement les tenants d’une médecine douce et de pratiques respectueuses de l’humain, de l’autre une médecine autoritaire, industrielle, écrasante, oppressive qui broie l’individu et ne marche plus que par statistiques sur du matériauvivant. S’il y a des idiots utiles ici, il fait être aveugle pour ignorer pour quel camp ils œuvrent.
Puisque j’y suis, et que je n’ai pas le temps de faire un article sérieux sur le sujet, sachez que ces laboratoires concurrents se livrent à une guerre industrielle et commerciale entre eux : chacun a ses brevets et les droits afférents. Ces brevets ne sont pas exploités de la même manière par tous les labos et ne sont pas non plus la panacée : untel met cet adjuvant-ci, celui-là cet adjuvant-là, tel autre, etc. De sorte qu’il n’y a pas un vaccin, mais des vaccins différents ! Et chacune des recettes ne vaut guère mieux que la concurrente tant qu’elle n’a pas été testée en grandeur réelle. Le drame c’est que ceux qui font les évaluations sont aussi ceux qui sont les bénéficiaires. D’où la triche rédhibitoire, pour le plus grand malheur des populations quand les vaccinés potentiels, cobayes ou marché juteux son désinformées..
Décidément Renève, vous êtes tout petit pour la ramener. Voyez, je ne dis pas criminel, non, idiot utile suffira puisque vous-même avez consacré cette expression. Désolé.
Allez donc vous occuper des nanotechnologies à coté, avec votre furtif compagnon, puisque comme lui vous n’y connaissez rien là non plus.