@ L’auteur.
Comme il est bon de s’émouvoir d’un fait divers tragique mettant en scène des personnes anonymes dont l’une est victime de l’autre dans un rapport de prédation, de possession/dépossession, et de rituel corporel/cérébral mêlant plaisir et masochisme pervers.
J’ai noté, à propos de ton précédent papier déroulant un décadent plaidoyer en faveur d’un touriste sexuel d’habitude assouvissant ses perversions lubriques et fantasmatiques moyennant fric et froc sur des misérables « gosses », que ni l’identité des victimes, ni leur jeune âge, et ni le schéma psycho-économique qui facilite et entretien le système criminel livrant en pâture les corps d’une partie de la jeunesse Thailandaise n’ont eu d’effet sur ton petit cerveau de propagandiste servile.
Tu as beau faire semblant d’avoir été ému par ce drame et par ce qui est arrivé à cette femme sans défense qui a subi la loi de cet homme institué bourreau et usant de sa force physique impitoyable pour l’asservir et lui imposer sa volition sexuelle, rien de ce que tu diras ne saura me convaincre pour la bonne et simple raison que, d’abord, tu as récemment défendu l’innommable dans un esprit purement partisan en niant ou en minimisant les crimes commis par Mitterrand neuneu et Polanski pédo, et qu’ensuite je considère, à l’aune de ta personnalité qui s’est manifestée à travers la défense panégyriste des coquelicots fanés, que le but poursuivi, sous -jacent à cet artcile, consiste essentiellement à se racheter une conduite, à effacer la gifle reçue par ta défense abjecte, et, in fine, escompter un retour gagnant parmi les rédacteurs d’Agoravox.