@ Le hérisson
- "Je suis loin de vous suivre dans votre analyse. Interrogez vous donc
sur votre texte, et demandez vous ce qui pousserent sa motivation, par
rapport à vous même.«
Vous avez le droit de ne pas être d’accord ! Mais commencez par vous interroger sur votre façon d’écrire du charabia avant de jouer au donneur de leçon !
- »En effet, vous n’êtes pas sémiologue, malgré le ton de votre article.
En d’autres termes, vous êtes un imposteur et cela retentit sur votre
propre histoire.«
Le Ciel me préserve d’être »sémiologue« ! Je n’ai jamais voulu entrer dans ce formalisme ! Je ne fais qu’analyser l’information, c’est autrement plus intéressant ! Je ne vois pas où est l’imposture, sinon dans votre sophisme simplet !
- »Par exemple, quand vous écrivez : "La seconde légende est aussi affaire de goût : elle est même d’un goût exquis. VSD prête à M. Mitterrand cette déclaration : « Le président m’a dit : rentre leur dedans ».
Dans pareil contexte de tourisme sexuel sordide, on ne pouvait choisir
jeu de mots plus délicat ! Mais sans doute faut-il avoir l’esprit mal
tourné pour en voir un !"
Tout cela vous renvoie à vous même. Les commentateurs qui vous applaudissent sont dans le même cercle vicieux.
Je crois que vous avez des problèmes de lecture et ne savez pas reconnaître les indices de l’ironie. Alors, apprenez le B A BA de la lecture avant de venir vaticiner ! Paul Villach