Ha ! Enfin, vous avez trouvé la faille dans laquelle s’est écroulé tout le système économico-industriel français, Hubert, mais le mal est fait, il est trop tard. C’est par ce cancer organisé par les plus puissants que nos centre ville ont changé de main en silence et qui fait qu’il n’y a plus que des automates à la place de nos commerçants si dévoués. Les mandataires, ceux qui ont pour mission de permettre aux commerçants en difficulté d’éponger leurs dettes, le pourraient très bien puisqu’ils sont économiquement fiables, remettre à neuf les locaux destitués et les revendre sans bénéfice puisque cela n’est pas leur métier. De cette façon, ils auraient à la fois soutenu l’emploi en France, et désenflé la bulle immobilière, et surtout, chaque commerçant aurait dans cette logique retrouvé une situation saine pour repartir sur de nouvelles bases et acquis la méthode pour ne pas recommencer sur le même terrain, mais surtout, au plus vite. Ces vilipendards se contentent d’accumuler les propriétés, de thésoriser l’immobilier, d’agrandir leur monopoly urbain et industriel et de se mesurer avec leurs amis marchands de biens et notaires...
Mais cette politique d’immobilisme dans laquelle ils se complaisent avec des revenus indécents par rapport à l’inactivité flagrante qu’ils imposent à tous, ne mène pas qu’à la ruine de nos centre villes, mais aussi à la décrépitude des lésés et coopérants. Ces vautours légaux qui torturent à petit feu le coeur de nos villes et leurs habitants, réduisant à zéro leur plan vitaux établis sur tout un travail d’une vie entière à se constituer ce tapis sur lequel appuyer le repos de leur retraite sont aujourd’hui propriétaires et responsables de notre ruine putride.
Malheureusement pour eux, leur patrimoine est de plus en plus squatté et leur conscience sordide leur interdit de s’y opposer tellement ils ont à l’esprit le peu de fierté en leur profession honteuse.
Merci d’avoir si bien résumé cet article qui méritait quand même ce complément d’enquète et d’information que je le suis fait un véritable plaisir d’apporter. Bien à vous. L.S.