Le sionisme est le cancer de l’humanité,l’édifice de l’entité coloniale sioniste s’effrite de plus en plus,le chantage à l’antisémitisme comme seule arme de persécution à vécu,les opinions publiques occidentales n’en sont plus à avaler les mythes de la guerre des six jours,le petit David contre le Goliath arabe, seule « démocratie » dans un océan de barbarie, luttant pour sa survie.Le massacre de Gaza a été l’opération criminelle de trop, mettant aux nus les dérives mortifères, d’une structure raciste, coloniale ,un corps étranger à la région,une greffe coloniale occidentale.On veut faire appliquer,ce chantage qu’on nomme résolutions de la loi internationale, au tiers monde,ou à ceux qui refusent de s’aligner sur le diktat occidental,empêchant ainsi les nations désirant de se soustraire aux dérives de l’économie de marché et de la présence des néo colons impérialistes sous bannière de l’otan de l’onu ou des structures affiliés telles le FMI ou la banque mondiale.
Depuis 1948 les sionistes sont en infraction constante au droit international,pire ils bénéficient du soutien logistique et diplomatique des prétendus démocrates occidentaux, qui leurs fournissent armes et appuis politiques,ces gangsters se sont accaparés 85% de la Palestine historique, quelques bantoustans en guise d’état palestinien dont ils refusent la construction et la reconnaissance,Tous les politiques sionistes ,n’ont poursuivi qu’un but l’édification du grand Israel et le nettoyage ethnique de ce territoire, par la force des armes.
Enfin comment peut on renvoyer dos à dos la puissance de feu israelienne, et les actes défensifs d’une milice dont le seul tord est de ne pas capituler,comme le font les collabos d’Abbas (Force Dayton, force de sécurité palestinienne sous commandement Américain
http://www.comiteactionpalestine.org/modules/news/article.php?storyid=135)
Oui le sionisme est aux abois, mais il ne faut rien attendre des institutions internationales sous la coupe de ses représentants ,cettte idéologie fanatique s’effondrera d’elle même, minée qu’elle est par ses contradictions internes.