Krolic,
Je suis parfaitement en ligne avec ce qui est dit dans le lien.
Dans la table de Mendelev, il n’y a que les derniers éléments qui ne sont pas « naturel » et qui sont créés en laboratoire..
Durée de vie trop courte.
Le Pu se trouve parfaitement dans la nature.
La radioactivité constitue l’énergie de la Terre.
Nous avons peur des rayons ? Et les rayons cosmiques qui nous bombardent en permanence et qui nous vieillissent sans qu’on s’en rende compte ?
En fait, nous avons pris le chemin le plus « naturel » de produire de l’énergie.
La radioactivité existait alors utilisons-là.
La bombe de Nagazaki, la seconde, a pourtant été l’autre option et cela a marché.
Donc, il ne s’agit pas de croire, de religion ou de n’importe quoi.
Olivier,
"pourquoi aller chercher une énergie si loin, non avérée, si chère,
alors que nous avons à portée de main tant de solutions sans danger.«
Ce n’est pas une question de chèrreté mais de volonté de s’unir dans le monde en sortant de nos frontières rikiki. Le CERN est une première étape.
Dans l’espace, si l’on veut aller sur Mars, il faudra autre chose que les efforts d’un seul pays.
Nous avons à portée des solutions qui sont très rikiki aussi et très dépendantes de l’endroit où l’on se trouve. Le solaire dans le Sahara d’accord. Il ne gène personne là-bas. Le vent, on peut l’utiliser là où il ne gène pas non plus. Mais même en mer, là où il y a du vent, avec les voies maritimes encombrées, faudra faire attention. Sur Terre, il est clair qu’on ne veut pas trop les voir au milieu de nos belles campagnes. C’est pas trop naturel, ces »machins" qui tournent à un pourcentage très faible de le voir travailler.
Les marées. Absolument. En Bretagne, par exemple.
La chaleur de la Terre, aussi, mais tout dépend de la profondeur et des investissements pour creuser.
Si tu as lu, mon dernier article. Le nucléaire, on est plein dans la décision de prolonger de 10 ans.
Je l’ai dit la fission, c’est le plus facile. Mais pas nécessairement la méthode la plus efficace.
Cela je n’ai pas besoin d’attendre plusieurs générations pour le savoir.