Merci à Pierrix ses remises au point patientes, calmes, et bien étayées.
L’attitude du parti communiste dit « français » avant l’opération Barbarossa était tout sauf admirable ; reconnaissons néanmoins sa bravoure et ses sacrifices par la suite, tout comme l’effort patriotique de l’Union Sociétique, sans quoi la guerre n’aurait certainement pas pu être gagnée.
Malheureusement, c’est en se proclamant ’parti des fusillés’ que les moscoutaires ont soutenu inlassablement le ’bilan globalement positif’ de l’URSS jusqu’à l’écroulement du Mur, gobant et répétant la ligne officielle avec la même servilité qu’un ministre sarkozéen reproduisant la parole de son maître. Et ce sont les cénacles marxistes du Quartier Latin qui ont accouché des plus gros sérial-massacreurs des temps présents, pendant que leurs « maîtres » rue d’Ulm endocrinaient à grosses louchées de matérialisme dialectique, ou tiraient à vue sur tout ce qui ressemblait, de loin ou de près, à une critique de la Patrie des Soviets.
Et je préfère ne pas imaginer ce qu’aurait été le sort de la France, pendant des décennies, si elle avait été libérée par l’Armée rouge et les communistes locaux...
Alors, honneur à Guy Moquet, « quand même » ainsi qu’à ses camarades, victimes à la fois de la barbarie nazie et de la collaboration. Mais honneur aussi aux nationaux comme le colonel de la Rocque, bête noire des rouges. Que son nom soit cité aussi dans tous les établissements scolaires.