Superbe article !!
Encore une escroquerie de Monsanto qui passera pour une revolution de l’agriculture, vendue à des ignorants.
L’avantage du semi direct etant au final une reduction des apports chimiques sur les champs, il était attendu qu’un Monsanto, Bayer, Syngeta se l’approprie et l’inclu à un de ses programmes pour y caser la necessité de deverser toujours autant de saloperies sur les sols.
Je travaille sur un article justement à propos de l’agriculture naturelle et permaculture, qui utilisent les propriété des fabacées... J’aurais donc surement l’occasion de citer le votre, assez éloquent dans la mise en evidence du - « Pourquoi faire simple quand on peut faire compliqué ? et se faire un max de blé ? »
A rappeler sur le WWF..
"A la différence
d’organisations comme Greenpeace ou les Amis de la Terre, engagées dans
des actions spectaculaires et des campagnes assez agressives, le WWF a
toujours privilégié les négociations et les partenariats, que ce soit
avec les institutions comme l’ONU, la Banque mondiale ou l’Union
européenne, et les entreprises, comme Coca-Cola, Carrefour ou Lafarge.
Il est vrai que quand on regarde la liste des responsables du WWF, on
trouve très peu de militants écologistes de terrain mais plutôt des
anciens PDG de multinationales, des hommes d’affaires, des diplomates
et des personnalités du Bottin mondain. Parmi les présidents successifs
du WWF-International, mentionnons par exemple le prince Bernhard des Pays-Bas, conjoint de la reine Juliana de la Maison d’Orange et actionnaire de référence de la Royal Dutch Shell ; le prince Philip, duc d’Edimbourg et mari de la reine d’Angleterre ; ou encore John H. Loudon, ancien président de la Royal Dutch Shell et de la Fondation Ford. Aux Etats-Unis, Kathryn Fuller, directrice d’Alcoa, deuxième plus grand producteur mondial d’aluminium, a présidé le WWF pendant quinze ans. En Belgique, l’actuel président du WWF est Ronald Biegs, ancien directeur général de Coca-Cola en France et en Allemagne. Le président du WWF-France est Daniel Richard, ancien PDG des Trois Suisses et de Sephora (groupe LVMH), lequel a succédé à Luc Hoffmann, ancien vice-président du groupe pharmaceutique Hoffmann-Laroche. Bref, que du beau monde.
Ainsi, avec sa défense d’un « développement durable »,
le WWF est considéré par bon nombre de responsables politiques comme un
interlocuteur bien plus raisonnable que les écologistes radicaux."