Ca fait un moment que les pro-vo, en panne d’arguments, se
déchaînent sur un écrit de Steven Jones, professeur de physique,
mormon, et archéologue amateur à ses heures.
J’ai donc décidé d’y aller voir par moi-même.
Qu-est-ce que je trouve ? Steven Jones commence son exposé par :
The
Book of Mormon makes the bold statement that Jesus Christ, shortly
following His resurrection, visited people in the New World
Le Livre des Mormons avance cette sainte évidence que Jesus Christ, peu de temps apres sa résurrection, visita des gens au nouveau Monde.
Ca
change tout. Les Mormons avancent que Jésus, de la même façon qu’il
s’est montré pendant quarante jours aux Chrétiens, est passé par le
nouveau Monde. Steven Jones y croit donc, comme ses co-religionnaires.
Qu’a-t-il fait alors ?
Pensant
que ce passage aux Amérique avait peut-être laissé des traces, il est
allé voir des oeuvres de l’époque Maya, et il pense qu’on peut voir sur
certaines d’entre elles des choses qui concernant ce passage.
Qu’y a-t-il d’extraordinaire là-dedans ?
Les Chrétiens, qui croient en la bible, pensent bien que Jésus est
revenu visiter les Chétiens apres sa résurection. Si les mormoms ont
aussi une telle croyance, quoi d’extraordinaire ?
Si un Chrétien
voit sur un oeuvre d’époque Jésus visitant ses anciens compagnons, il y
trouvera sans doute une confirmation de l’histoire de la bible.
Est-ce que quelqu’un ici prétend que les Chrétiens sont des fanatiques obtus incapables du moindre raisonnement ?
C’est là qu’on voit toute la duplicité des pro-VO prêts à utiliser
n’importe quel argument. Car eux disent, "il prétend que Jésus est
passé en Amérique", oubliant de préciser, apres sa résurrection, ce qui
change beaucoup de choses.
Pourtant les Chrétiens pensent qu’il y a eu de nombreuses
apparitions depuis Jésus, notamment de la Vierge Marie, à Lourdes par
exemple. Personne ne dénonce les Chrétiens pour cela. Pourtant, il y en
a au gouvernement, par exemple.
L’utilisation de cet argument complètement biaisé par un
« journaliste professionnel » hier soir montre bien le sérieux de la
presse « officielle ».
Par contre, ils ne trouvent pas grand-chose à redire aux écrits purement scientifiques et parfaitement argumentés du professeur Steven Jones, qui est un homme pacifique, respectable et digne.