Commentaire de morice
sur « Il était une fois la révolution » : viva Leone !
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marrant, on l’a jamais vu ramasser quelque chose à Cannes ou ailleurs : la profession ne l’aimait pas, sans doute, ce doit être ça. Vous savez, au bout de 500 films de série Z, logiquement on doit arriver à faire un film de série B.... mais Leone n’a jamais joué en première division, visiblement....
- Le format de pellicule (Techniscope)
- La grande profondeur de champ (utilisation de focales courtes)
- Les gros-plans extrêmes (scènes de duel), souvent sur les seuls yeux d’un personnage, en alternance avec de grandes vues d’ensemble. Le contraste qui en résulte est l’un des responsables de l’impression d’ampleur qui résulte de la mise en scène de Leone.
- Les travellings arrière (d’un détail au plan d’ensemble)
- Le temps étiré : de nombreuses scènes d’observation longue, tendue et sans dialogue entre duellistes
- Une musique très présente (composée par Ennio Morricone), souvent indispensable comme dans les scènes d’observation citées ci-dessus, mais qui alterne avec des moments de « silence »... où les bruitages sont exacerbés.
Derniers commentaires
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02/11 12:27 - Vincent Delaury
italiasempre, et les autres (même ceux qui ont amené un autre son de cloche), thanks (...)
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02/11 07:04 - Gazi BORAT
@ARMAND & SiSYPHE Il existe une quasi-version turque de « Il était une fois en Amérique » (...)
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01/11 03:06 - sisyphe
@ Armand je ne peux pas m’empêcher d’entendre dans ma tête, en me promenant dans (...)
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01/11 00:36 - morice
En même temps, comme chez Léone, chaque plan est un tableau. faudra revoir vos notions sur (...)
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31/10 12:41 - armand
Bonjour à tous, C’est sûr, le ciné adoucit les moeurs - même si on n’est pas tous (...)
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31/10 00:11 - blackmetal
L’immonde Tarentino ? Tiens, moi j’aime Tarentino, lui au moins ne sert pas de la (...)
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