Bonjour,
La lumière, c’est la vie. La nuit, c’est pour dormir. Ce n’est pas uniquement pour raison économique.
Supprimer le changement d’heure, oui. Mais lequel prendre ?
L’heure d’avant 1976 c’était l’heure d’hiver en continu.
Oublier qu’il y a des fuseaux horaires qui arrivent à des abérations aussi.
Passer à la frontière entre l’Espagne et le Portugal et vous comprendrez.
Et pourtant, faut bien changer quelque part. La Terre est ronde.
Les économies d’énergie sont valables quand elles apportent un plus.
D’après l’agence de l’environnement, les économies s’élèvent à 1,3 terawattheure soit l’équivalent de 290.000 tonnes équivalent petrole. Soit 10% de la production d’un réacteur nucléaire de type EPR équivalent de 0,3% de la consommation d’électricité.
Vous écrivez : « Il n’est que voir ce qui se passe la nuit : des milliers de bureaux allumés en permanence, les éclairages publics urbains allumés toute la nuit, jusque dans les plus petits villages ( et on continue d’installer des lampadaires tous les 25 mètres ! ), les millions d’enseignes lumineuses qui polluent 365 jours et nuits par an, les monuments éclairés pour les chauves-souris...etc. »
Là, d’accord avec les enseignes lumuneuses des pubs, mais pas d’accord pour ce qui sert d’éclairage.
L’éclairage, je répète, c’est voir, c’est vivre avec moins de risques.
Passez chez nous, en Belgique. Sur nos routes, on épargne combien de vie à cause de la lumière, croyez-vous ?
Je n’ai pas les chiffres sous la main, mais la confrontation est parfaitement claire (mot lapsus !!!).
Il faut savoir ce que l’on veut. vivre dans le noir ou dans la lumière.