Commentaire de olivier cabanel
sur 5050 euros, le prix de la misère
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Beneolentia,
j’ai déjà pris des coups,
et pas au sens figuré,
je sais donc à quoi m’en tenir,
mais j’ai toujours pensé que la violence des gestes masquait une impuissance à résoudre ses propres problèmes.
au fond, c’est celui qui tape qui encaisse.
mon vieil ami africain aurait pu mettre çà dans son répertoire génial.
Derniers commentaires
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05/11 08:17 - g.jacquin
o Vous invoquez le droit, là. De manière très perverse et même fallacieuse, vous n’êtes (...)
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05/11 00:32 - vergobret
"Moi je serais à la place du CEA ou d’AREVA, je vous demanderais de venir au tribunal (...)
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04/11 20:00 - olivier cabanel
Vergobret, a mon tour de vous remercier, vous avez dit ses quatre vérités à Jacquin et çà fait (...)
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04/11 19:34 - g.jacquin
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04/11 19:25 - vergobret
A Olivier il me semblait que pataquès venait du breton.. sinon , très bien votre travail, (...)
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04/11 19:07 - vergobret
A jacquin Vos messages précédents et celui-ci frisent l’intimidation (inconsciente ?) et (...)
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