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Commentaire de Paul Cosquer

sur Un Strauss peut en cacher un autre


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Paul Cosquer 4 novembre 2009 13:30

Tout en composant, j’ai cette intuition soudaine que le prologue de Strauss contenait en germe l’âme du rock. Je trouve des sortes de « ponts », d’analogies lointaines entre son ouverture et les rythmes rock modernes...Bizarre, bizarrre, je creuse, je creuse...


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