Nico : « Ainsi si avion avait percuté la tout Montparnasse, il est probable qu’elle se serait rompue à une hauteur donnée et qu’elle aurait basculé. »
Bonne analyse. Mais cela devrait AUSSI se passer de la même façon pour les twins tower. S’il y a rupture au niveau du point de crash, la structure supérieure devrait basculer, et non pas écraser la partie inférieure avec le noyau intact, qui ofre un maximum de résistance. La non-resistance du noyau de la partie inférieure qui entraine un écroulement ultra-rapide n’a aucun explication sérieuse dans la VO.
"Tout cela a fait qu’à un moment donné, la structure restante affaiblie
et chauffée à blanc à l’endroit du point d’impact n’était plus en
mesure de reprendre la charge statique des étages supérieurs. Les
étages impactés se sont affaissés.«
Rien ne montre que la structure centrale (le noyau) a été chauffée a blanc. Des employés ont traversé la zone d’impact de la tour Sud par un escalier de secours dans le noyau sans signaler le moindre incendie. Le nist n’a relevé aucune température subie par les pieces d’acier controlées supérieures à 300°. Il n’y a aucun élément objectif montrant que la structure aurait subi des températures élevées.
Si les étages s’affaissent, on a un écroulement partiel et lent, pas un écroulement ultra-rapide. Et la partie inférieure du noyau doit résister.
»La masse en mouvement des étages supérieurs a généré des surcharges dynamiques sur les étages inférieurs, expliquant l’effondrement en mille feuille."
Comment expliquer la rupture simultanée de TOUS les points d’attache des étages qui entrainerait la chute immédiate d’un étage. La mise en mouvement des étages supérieurs est une fable qui ne résiste pas à l’analyse.
D’autre part la masse des étages est relativement faible, car ils n’ont pas de rôle structurel. La rupture des attaches d’un étage, que l’on ne peut que penser partielle, ne doit entrainer que des dégats sur un ou deux étages en-dessous. Aucune raison d’envisager un écroulement total.
De même une rupture du noyau ne peut expliquer une accélération subite, car il rencontre immédiatement la partie inférieure qui est intacte et doit opposer une forte résistance.