La dictature du bien (selon une minorité d’ayatollah) commence à nous courir sur le haricot. Je trouve que votre invitation à la ripaille dans les lieux publics est une initiative salutaire qui devrait être encouragée et recommandée.
Ce que je n’arrive toujours pas à comprendre c’est la logique qui sous tend cet acharnement à vouloir faire notre « bien » malgré nous, quand dans le même temps, on est face à un silence assourdissant pour ce qui concerne :
La pollution, les pesticides, les métaux lourds, les OGM, la nanotechnologie, le nuage de tchernobyl qui s’était arrêté à la frontière, le mercure, squalène, formaldéhide et aluminium des vaccins, les hormones et antibiotiques que l’on retrouve dans les cours d’eau, l’aspartame des produits « light », le plomb des canalisations et peintures, le bisphénol des biberons pour nourrissons, l’acide perfluorooctanoïque des poêles anti-adhésives, le DEET des répulsifs anti-moustiques, l’oxybenzone des crèmes solaires, le diméthylfumarate de certains produits importés de chine, et on peut continuer longtemps ainsi...
Bien que les autorités sanitaires des pays réagissent vite sur certains produits, dans de nombreux cas la gestion des risques est catastrophique et abouti à de gros scandales sanitaires comme ceux que nous avons tous en mémoire.
Alors sans vouloir parer le tabac de vertus qu’il n’a pas on peut constater qu’il fait office de défouloir et on pourrait souhaiter qu’une telle énergie soit déployée pour prévenir des grâves risques encourus rien qu’en faisant ses emplettes à la boutique du coin.