Un exemple de désinformation antinucléaire.
Dans le dernier documentaire d’ARTE sur les déchets nucléaires.
Dans l’Oural près de Tcheliabinsk
Le technicien de la Criirad ; il se ballade sur un site dit « contaminé » en costume de ville, alors que la moindre précaution est de mettre un blouse qui puissa aller au lavage ensuite.
Un technicien dans une zone radioactive porte un badge de dosimétrie sinon il pourra se faire griller.. Car ce n’est pas en comptant des becquerels que l’on sait si l’on se fait griller ou non. Il faut compter les doses efficaces en sieverts.
Le technicien fait un prélèvement à mains nues. Il est gonflé. Il nous rejoue « le salaire de la peur ».
Après cela il exporte des déchets nucléaires sans autorisation et visiblement dans un emballage qui n’est pas conforme à la réglementation..En Russie il aurait du contacter GosAtomNadzor d’une part et Tenex d’autre part pour pouvoir envisager ces envois. Ca aurait meublé le documentaire.
L’importation illégale de déchets nucléaires c’est la plus forte amende prévue par le code pénal.
Il manipule dans son labo ces déchets à mains nues...
Et ensuite que fait-il de ces déchets ?
On aurait aimé voir la remise de ces déchets à l’ANDRA pour stockage final, ça aurait crédibilisé le documentaire.
Mais il donne l’impression que ces fameux déchets radioactifs sont passés sur un remblais du coin.
Enfin de l’enturbannage complet du péquin moyen.. Et Arte complice de cette désinformation !!!
Parce que l’on peut pendre le documentaire du début à la fin, et y passer des heures en commentaires de ce type.
@+