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Commentaire de Bardamu

sur Gouvernement mondial : une escroquerie intellectuelle et une double menace


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Bardamu 14 novembre 2009 07:09

Nietzsche voyait le Nihil -que nous vivons, ou plutôt « ne vivons pas » !- comme moment d’indifférenciation généralisée, tous et tout se ressemblant en une société industrialisée en ayant assuré le triomphe.
Des esclaves donc, c’est-à-dire des êtres incapables de créer des valeurs -aujourd’hui des moutons !-, allant tous dans le même sens -un mur mondialiste- en un monde où la vie, comme la joie qui la soutient se sont définitivement absentées.

Nous y sommes, l’esclave a bien terrassé le maître créateur de valeurs, et ce depuis belle lurette.
Nietzsche était un prohète dont on n’a pas fini de décrypter la pensée, et s’il était aujourd’hui parmi nous, il ridiculiserait un Attali, cet Attila du concept, et nous rédigerait quelque nouveau Zarathoustra avec pour toile de fond cette gouvernance mondiale.

Sans compter Orwell et Aldous dont la plume grifferait le papier de pleins et de déliés !
La gouvernance mondiale = la fin de l’homme, d’un homme encore homme... humain, quoi !


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