Deux articles traitant à peu près du même sujet je poste donc les mêmes questions...
1) L’affaire ayant été programmée de très loin (deux ans au moins avant la précédente élection présidentielle) qui se souvient ici que c’est le Figaro & co qui a choisi de faire monter Ségolène Royal dans les sondages jusqu’à ce que son improbable candidature devienne incontournable ?
3) En quoi le fait d’avoir respecté le vote des militants lors de la précédente élection en soutenant Ségolène Royal , Vincent Peillon devrait-il en être un inconditionnel sous peine d’être taxé de traître ? Lui avait-il signé un chèque en blanc qu’il refuserait d’honorer maintenant ?
4) En quoi Monsieur Peillon serait-il un présidentiable moins crédible que la perdante dont les positions au sein de la gauche, le manque de spontanéité et les piètres talents oratoires n’en font guère une candidate de rassemblement ?
5) Comment ne pas voir que ceux qui
à l’époque l’avaient propulsée en face Sarkozy l’utilisent maintenant
pour diviser l’opposition, déstabiliser les militants
socialistes, les démobiliser et empêcher l’émergence d’un candidat
qu’ils auraient vraiment choisi eux mêmes ?
6) Comment ne pas voir que la
tactique actuelle des médias consiste à faire mousser un maximum de
candidats d’opposition pour n’en laisser émerger aucun ?
7) Doit-on en conclure qu’un candidat de la dernière chance déjà choisi par l’establishment de droite attend son heure au coin du bois pour être propulsé ?