Question 1:Qui a désigné V.Peillon à la tête d’« Espoir à gauche » courant organisateur de la la réunion de Dijon ?
Réponse : Ségolène Royal au nom des militants qui avaient soutenu sa candidature au poste de première secrétaire du PS
Question 2 : Qui avait le droit d’évincer Ségolène Royal de la réunion
de Dijon orgnisée par le courant auquel elle appartient et dont elle
est l’initiatrice.
Réponse : Surtout pas V. Peillon qui
n’a consulté personne de son courant pour le faire, alors que nombre
des dirigeants de celui-ci ont approuvé la présence de Ségolène Royal,
à commencer par F. Rebsamen co-organisateur de la réunion dans sa ville
et qui lui a souhaité la bienvenue
Question 3 : SR est-elle moins
qualifiée que d’autres pour intervenir sur le thème du rassemblement,
l’enseignement et l’éducation ?
Réponse : Non, car elle a été ministre de ce secteur.
Question 4 : Fallait-il une invitation spéciale de monsieur V.Peillon
pour participer, en tant que membre de l’Espoir à gauche à cette
réunion de travail ?
Réponse : non, car chaque adhérent dont je suis était invité à s’inviter !
Question 5 : faut-il en conclure comme le soutient maintenant V ;Peillon
que Ségolène Royal est folle d’avoir refusé de lui obéir et de se
soumettre à son dictat, qu’elle ne connaissait pas ?
Réponse : Les réponses aux 4
questions précédentes suffisent à répondre que c’est plutôt V.Peillon
qui a pété un câble au point, dit-il, d’avoir désiré s’en prendre
physiquement à elle si elle n’avait pas été une femme(!) et d’avoir
insinué qu’elle était l’expression d’une "fascisation rampante de la
politique française."
Conclusion : À quelques mois d’une
élection importante contre un ministre de Sarkozy pour laquelle elle a
été choisie par plus de 80% des militants du PS, les déclarations
insultantes de V.Peillon sont dignes de la félonie d’un E.Besson lors
des présidentielles et pour laquelle celui-ci a été récompensé comme on
le sait par son monarque
V. Peillon = Besson bis.