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Commentaire de Evrard

sur Sommet de Copenhague : Le nouveau traité mondial ?


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Fourmi Agile Evrard 19 novembre 2009 10:54

Selon le Giec l’augmention de la température devrait être de 2° pour le siècle à venir. Quelle importance aura une aussi faible augmentation de température ? On sait que dans le passé la température a varié beaucoup plus en froid ou en chaud et ça n’a pas créé de catastrophes. C’est impossible d’agir sur le climat mondial puisque c’est le soleil qui est l’unique cause des variations climatiques de la Terre, comment est ce que l’humain pourrait agir sur les variations du soleil ? Les courants océaniques charient des milliards de tonnes d’eau à la seconde, ce qui régulent le climat mondial. Les calottes glaciaires des poles font plusieurs millions de kilomètres cubes de glace à des températures moyennes de -20° : quelle influence aura un réchauffement mondial de 2° ?

Tenter de diminuer le CO2 atmosphérique coûtera très cher pour un résultat insignifiant devant l’énormité des processus naturels. De plus d’immenses pays en pleine expansion comme la Chine n’accepteront jamais de diminuer ses émissions de carbonne.

Un accord lors du Sommet de Copenhague poussera les dirigeants à faire des dépenses gigantesques sans que ça n’amène aucun changement climatique. Cet accord est dangereux car il faudra engager des processus très lourds et une fois lancés, ces processus auront leur propre dynamique que rien ne pourra arrêter et ça pourrait être la cause de graves problèmes pour l’humanité.

Selon les alarmistes, il faut agir même si la probabilité que ça arrive est très faible, à cause du principe de précaution. Mais en science il ne doit pas y avoir de principe de précaution, puisque la science ne doit pas fonctionner avec des probabilités mais avec des certitudes. Normalement les scientifiques devraient débattre d’un problème entre eux jusqu’à se mettre d’accord, puis soumettre leurs conclusions aux économistes et aux dirigeants qui décideront. Or ça ne se passe pas du tout comme ça, puisque les rapports du Giec sont soumis aux dirigeants politiques et médiatisés, alors que les scientifiques ne sont pas d’accord entre eux.

Selon Vaclav Klaus, président de la Tchéquie, ils sont en train de créer petit à petit un gouvernement mondial où ils vont tenter de tout planifier, tout gérer. Ce sera la perte de nos libertés, la régression, la fin du progrès. Tout ceci est inquiétant.


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