Dis donc, l’auteur, tu as dû sacrément souffrir par la faute de ces femelles-là pour en parler si bien !
Tant d’analyse et de talent justement déployés, ça ne s’invente pas... il faut une base à cela, quelque terrain propre à l’empirisme !
Le féminisme est l’apanage de celles qui refusent d’être femmes, auraient souhaité être des mecs... et en veulent à ceux-ci, pour cela.
En eux, comme le font tous les pervers narcissiques, elles cherchent un autre, avec ses paradoxes, son égotisme, ses névroses !
Ce sont des femmes inintéressantes au possible, et pas suffisamment courageuses pour s’affirmer lesbiennes.
Ce sont des êtres manqués !
Le seul être que peut aimer une féministe est son psychanalyste !
Il faut être raisonnable et se dire qu’on ne peut avoir accès à tous les clampins qui peuplent cette Terre, que tous ne sont pas abordables, aimables, fréquentables.
Dès lors, ignorez-les, et peut-être, à votre grande surprise, les verrez-vous rappliquer !
Sinon, la meilleure féministe demeure une féministe... morte !
Ecrit par un serial killer, tueur de femmes -cheveux courts, chaussures basses, air enfrogné-, à l’entrée du couloir de la mort.