@ Spartakus Freemann
D’abord, merci à Cipango.
Rien de nouveau sous le soleil ! A défaut d’arguments qui prouveraient que le mont Beuvray est le site de Bibracte, les insultes.
Récapitulons un peu.
Primo. Présenter une thèse à mon âge ? Sous la direction de M. Goudineau que je n’apprécie pas ou d’un patron de thèse qui lui serait inféodé ? Très peu pour moi !
Secundo. Se faire éditer par une maison d’édition alors que la première chose que fait un membre du comité de lecture est de donner un coup de téléphone à un archéologue du sérail ! M. Luscianusbeneditus parle pour ne rien dire.
Tertio. Publier dans une revue scientifique ? idem.
Quarto. Entrer dans la discussion de Wikipédia ? Pourquoi l’intervention que j’y ai faite avant de publier ces présents articles n’y figure pas ? Pourquoi entrer dans une discussion avec un Monsieur Luscianusbeneditus qui n’a que le mépris et l’insulte à la bouche ?
Quinto. Que mon avis soit minoritaire ? Et alors, est-ce une raison pour refuser le débat ?
Sexto. Que j’inonde de courriers ? En effet, je ne le nie pas et même le revendique. Et ce n’est pas ce monsieur qui va m’intimider et m’arrêter.
Septimo. Où ce monsieur a-t-il lu que j’aurais écrit que le mont Beuvray était un site mineur alors que j’ai toujours affirmé que c’était un site important, stratégique et non tactique. Evidemment, cette nuance lui échappe.
Octavo. Le mystère de l’Atlantide est un autre problème sur lequel je suis prêt également à débattre... Ne fuyez pas, monsieur Luscianus etc, répondez à la question qu’on vous pose : quels sont les arguments qui vous autorisent à dire que Bibracte se trouve au mont Beuvray ?