Je ne connais pas la reproduction sonore, mais ce que vous dite sur les processeurs me semble erroné :
1) La technologie RISC (Reduced Instructions Set Computer), comme le dit son acroynyme, utilise un jeu réduit d’instructions et joue, pour obtenir une certaine puissance, sur les caches d’instructions et de données. Les instructions exécutées étant simple car devant être exécutées sur un seul cycle d’horloge, on ne peut pas dire qu’elles soient plus « puissantes » que celles du CISC, c’est même souvent le contraire ;
2) La technologie CISC (Complex Instruction Set Computer) a profité de la technologie RISC en introduisant depuis quelques années des instructions simples exécutées en 1 cycle. Par ailleurs les compilateurs sont devenus extrêmement puissants sur l’optimisation du code et redonnent leur supprématie à cette technologie.
A noter également que Motorola/IBM se sont allègrement plantés sur la technologie PowerPC (RISC, voir l’épopée d’Apple avec ses G3, G4 et surtout les catastrophiques G5).
Quant au débat sur le réchauffement, il me semble normal qu’il y ait du pour et du contre, mais on a parfois la désagréable impression d’une vision très biblique du monde chez les « anti-réchauffistes » (terme extrêmement réducteur, soit dit en passant, car on parle plutôt ici de changement climatique global) : le monde est mis à disposition de l’homme. Point.
Or on pourrait parler de l’ensemble des polllutions dans les mêmes termes que pour le réchauffement : il y a des constats, extrêmement graves, de détérioration de l’« environnement » (encore une vision biblique) par l’homme, et les solutions à leur apporter ne peuvent qu’être humaines. Il est donc logique que certaines sociétés fassent de ces solutions leur cœur de métier, sans qu’il y ait le moindre complot.
Que ce marché attire ensuite des personnes mal intentionnées, c’est cela qu’il faut dénoncer, mais cela ne remet pas forcément en cause le postulat de départ.