@stephanemot
Sur le 1) : ce n’est pas moi qui ait écrit « quelques » chercheurs « peu » intègres. Si ce n’est pas une minimisation, nous ne parlons pas la même langue.
Sur le 2) : De la partie visible des travaux du GIEC, la synthèse et surtout les résumés pour décideurs, il ne reste plus rien de discordant. Tout a été politiquement filtré. Le GIEC n’est pas un organisme scientifique. Où a-t-on vu un organisme « scientifique » dont les membres sont nommés par les gouvernements, dont ils appliquent les directives, et auxquels ils rendent des comptes ?... De toutes les façons, ici, il n’est pas question du GIEC, mais de la mainmise d’un petit groupe de « chercheurs » sur tout un pan de la science, par des procédés qu’aucun scientifique sincère ne peut approuver.
Sur le 3) : Là encore, c’est hors sujet. Mais, pour faire court, si l’homme a une influence sur l’environnement, toutes les autres créatures aussi, des lichens aux séquoias millénaires, des amibes aux éléphants en passant par les termites et fourmis. Et l’homme est, à ma connaissance, le seul de toute la liste à être capable de constater les dégâts qu’il cause, et à être capable de les corriger lorsqu’ils vont « trop loin ».
Pour ce qui est de l’impact « sur le climat », on a beau se hausser du col, je ne suis pas certain que la Terre soit d’accord.
Sur le 4) : « négationniste » a, en France, une signification bien particulière qui conduit tout droit en correctionnelle. Le scepticisme climatique n’a pas encore, heureusement, été tranché par une loi. On n’en n’est pas encore au Ministère de la Vérité décrit pas Georges Orwell. Peut-être entrevoyons nous une chance d’y échapper ?