« Les réchauffistes ont raison... »
Ca y’est, epapel apporte sa contribution scientifique au débat.
Ah mais oui j’oublie à chaque fois, il n’y a pas de débat, l’homme est responsable d’un réchauffement global de 0.7°C, d’une montée de 17cm de l’océan, et de la fonte de 10% de la couverture glaciaire, et que pour stopper cette catastrophe annoncée et les millions de morts qui vont en découler, il faut arrêter de rejeter du carbone, et donc changer nos sociétés consommatrices et nos modes de vie polluants.
C’est la belle histoire du réchauffisme...
Mais c’est un bel objectif que de vouloir changer le monde vers le respect de l’environnement.
Que la science qui sert de justificatif soit entachée d’incertitudes sur le fait que diminuer le CO2 sauvera la planète du réchauffement n’est pas un problème.
La fin justifie les moyens. S’il faut décrédibiliser la science pour faire passer son idéologie, alors allons-y.
Mais vous ne m’empêcherez pas de vomir, même si cette belle histoire s’avère juste dans le futur. C’est tout ce que j’espère pour vous, les réchauffistes (je dis cela en toute quiétude et ce n’est pas une menace). Car ce ne sont pas les sceptiques scientifiques qui empêchent Copenhague, mais bien les politiques pour lesquels les gens ont voté.
Quel sera la prochaine étape ? La fin de la démocratie ?
J’espère enfin que la preuve de la dangerosité du carbone soit bientôt apportée afin que l’on se lance afin dans cette réforme sans que les sceptiques viennent semer le trouble (il restera toutefois encore des réticences idéologiques libérales ou autres, mais elles seront marginalisées...), car sinon les moyens utilisés pour arriver aux buts réchauffistes (en lien avec l’écologie) risquent de devenir encore plus dangereux que le CO2 lui-même.
Par contre, si on apporte la preuve que le CO2 ne joue que très peu sur le climat, cela va être dur pour certains, un peu comme si on annonçait à un croyant que Jésus n’a jamais existé. Toutefois, avec la foi, pas besoin de preuves !
Remarquez, aujourd’hui, si la foi manque, il reste toujours le principe de précaution.
Et on en revient au début de l’histoire