« Il n’y a aucune preuve concernant l’implication du squalène dans le syndrome de la Guerre du Golfe, dans la survenue de SEP, de SLA ou de MAI. Si vous en avez une, merci de poster un lien vers l’article adéquat »

Effectivement aucune preuve concernant le syndrome de la guerre du Golfe puisque : 
 « Il s’est finalement avéré que l’armée américaine a affirmé que les vaccins soupçonnés ne contenaient pas de squalène » (lu sur wikipédia) 
On se souvient que cette même armée américaine a déclaré la guerre à un pays en affirmant qu’il possédait des AMD , on peut donc lui faire confiance pour le reste........

Pour les maladies auto immunes plusieurs publications médicales (cités en bibliographie sur wikipédia) ont fait état d’arthrites auto immunes et d’ anticorps du lupus après injection de squalène chez des souris .
A la lumière de ses publications , on peut se poser des questions sur la compétence médicale de l’OMS ou de l’ Affsaps qui n’ont même pas été foutu de préconiser le vaccin sans adjuvant pour les patients souffrant de polyarthrite rhumatoïde ou de lupus (tiens , ça s’appelle le principe de précaution)

On peut également se poser des questions sur le suivi à long terme des vaccinés . Car il est bien évident qu’une maladie auto immune ne se déclare pas dans les 15 jours suivant la vaccination .

Il est aussi bien évident qu’une maladie auto-immune se déclare plus souvent chez un sujet jeune que chez une personne âgée, or l’OMS nous signale :
’Plus de 22 millions de doses du vaccin antigrippal contenant du squalène ont été administrées. L’absence de manifestations postvaccinables indésirables importantes après ce grand nombre de doses administrées indique que le squalène dans les vaccins ne fait pas courir de risque significatif. Ce vaccin a été principalement administré dans les tranches d’âge élevées. "

Enfin , en France , le seul vaccin contre la grippe saisonnière contenant du squalène (Gripguard) , n’a pas été franchement recommandé par la revue « Prescrire » qui conseille de l’utiliser en dernier recours, si les vaccins sans adjuvant venaient à manquer . 

Il n’est pas question d’alimenter une parano anti vaccin mais simplement de souligner l’approximation des décisions de santé publique . Heureusement qu’il existe des ministres de la santé comme en Pologne (médecin et non , pharmacienne...) qui savent raison garder et qui nous rappellent l’obsession de tout soignant : « primum non nocere ».