Salut Morice, je suis entrain de lire
ton article et je me suis arrêté à cette phrase : « L’histoire
incroyable de l’Ile de Pâques, dont l’autodestruction ne fait
plus beaucoup de doutes désormais, à quelques nuances près, nous a
montré en effet à quel point la stupidité ou l’avidité humaine
pouvait aboutir à ce scénario catastrophe.. ». Je n’ai pas
poursuivi ma lecture parce que j’ai voulu réagir immédiatement.
C’est un mythe que tu nous racontes là dans cette phrase. Tu crois
que les habitants de l’île de Pâques n’étaient assez intelligents
pour se rendre compte de ce qu’ils faisaient. C’est si simple de
prendre une graine et de la semer pour obtenir une nouvelle plante
qu’ils auraient été trop stupides pour savoir le faire alors qu’ils
connaissaient l’agriculture. En réalité cette théorie sur laquelle
tu t’appuies pour affirmer doctoralement ce que tu dis, repose un
mensonge. Nous nous croyons supérieurs quand nous jugeons ces gens
assez stupides pour détruire leurs propres richesses en abattant les
arbres jusqu’aux derniers sans penser aux graines qu’ils auraient pu
planter pour remplacer les arbres qu’ils avaient abattu.
Il existe une étude plus respectueuse
de l’homme et de sa raison qui repose sur une thèse disant qu’un
rat étranger à l’écosystème serait arrivé en même temps que
les hommes avec leurs navires, peut être un passager clandestin, qui
au cour des siècles à venir aurait proliféré parce qu’il n’avait
pas de prédateurs sur l’île et que ces rats étaient devenus si
nombreux qu’ils auraient bouffé toutes les graines et plantes
jusqu’à leur disparition. Hé oui, Morice toi aussi tu avales la
propagande et tu la recraches avec tes préjugés d’occidental.
Cette histoire de l’île de Pâques où
la faune aurait disparu par l’introduction d’un rongeur végétarien
est arrivé souvent arrivé. Par exemple en Australie avec le lapin
et sans oublier la souris. Pas seulement avec les rats.
Je n’ai pas le temps de faire de
recherche. Je ne me souviens plus du nom de l’île mais sa faune et
sa flore a été détruite par l’introduction du lapin et de bovin et
de mouton qu’on avait laissés pour les naufragés qui y
trouveraient refuge et nourriture. C’était une petite île déserte.
C’est même incroyable parce qu’il reste encore des vestiges de la
flore luxuriante qui avait existé avant l’introduction des vaches.
Les plantes autochtones se sont réfugié sur les falaises là où ni
les vaches ni les lapins ne peuvent aller. Le reste de l’île est
désertique, les vaches bouffent tout au fur et à mesure que ça
pousse. Elle se sont adaptées à leur régime, elles ont ajouté à
leur menu les algues qu’elles vont chercher sous l’eau. Il faudrait
que je retrouve le nom de cette île. Je crois qu’elle appartient à
la Nouvelle Zélande. Morice ce genre d’accident qui consiste à
amener sur de nouvelle terre où il n’y a pas de prédateurs des
nouvelles espèces animales est très fréquent. C’est ce qui semble
être arrivé à l’île de pâque. Ceci dit, El Nino est un courant
épisodique, il ne coule pas tous les ans et seulement à une période
de l’année qui correspond à Noël d’où son nom l’Enfant (Jésus).
Courant bénéfique qui amène pluie et tempête et cyclone. Il n’y
a que les pécheurs et les marins qui le craigne et les cons qui se
sont installé en bordure de mer où aucun amérindien ne s’était
installé. Je ne crois pas que ton El Nino coule jusqu’à l’ile de
Pâques de toute façon tes explications sont vaseuses.