L’Islam n’est pas une religion mais une politique. Le Coran n’est pas un texte religieux, mais un traité politique associé à un code de loi.
Et c’est bien de cela qu’il aurait fallu s’apercevoir avant.
Parce que le traité politique est clairement fasciste, tandis que le code de loi est parfaitement contraire à nos lois démocratiques et républicaines.
D’ailleurs le problème n’est pas si nouveau, il a existé pendant des siècles en Europe une conception nettement fasciste de la religion chrétienne, Savonarole par exemple, ou la condamnation de Galilée, et pour mater l’Eglise en France et lui imposer la laïcité au début du vingtième siècle, il a fallu déposséder les congrégations, expulser les moines et embastiller des curés.
Il a fallu cogner très fort sur une Eglise qui avait était affaiblie au préalable par les « Lumières », mais qui avait encore de beaux restes et ne voulait pas se laisser faire !
On a donc traité l’Eglise à l’époque avec bien plus de dureté qu’on ne traite l’Islam aujourd’hui.
Gageons que Voltaire (« écrasons l’infâme ! »), s’il avait vécu en 1905, aurait approuvé ces mesures extrêmement brutales prises à l’encontre de la religion chrétienne.
Et la question est maintenant la suivante : on ne voit pas pourquoi des mesures semblables ne devront pas être prise à l’encontre de l’Islam pour lui imposer le respect de nos lois démocratiques et des principes de notre laïcité.
Car l’Islam d’aujourd’hui est sans doute au moins aussi coriace que le Christianisme de 1905.
Il parait même assez probable qu’il faudra être encore plus dur, peut-être même faudra-t-il expulser les populations musulmanes qui ne, sont après tout, que des étrangers en situation irrégulière, alors que les chrétiens étaient au moins nos concitoyens.
Mais cette fois, gageons que notre « Voltaire » d’aujourd’hui s’y opposerait !
Chercher l’erreur.
Mais ne nous arrêtons pas aux illogismes d’une pensée politique de gauche qui est en train de sombrer corps et bien, et allons plutôt au fond des choses :
Les amis politiques de « Voltaire » ont favorisé l’installation en France de minorités musulmanes inassimilables, parce qu’ils comptaient en tirer des bénéfices, notamment électoraux.
On pense bien qu’ils n’ont pas fait celà seulement pour jouer les bonnes âmes généreuses, il n’y a que les jobards qui pourront croire cela.
Leur problème est qu’à présent il va leur falloir courir partout pour étouffer les scandales et éteindre les incendies, car si les choses tournent trop mal on pourrait venir leur demander des comptes !
Or, il y a fort à parier maintenant qu’elles vont mal tourner, car les incidents ne vont pas s’arrêter comme par enchantement, n’est-ce pas ?